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é à l’écrire, et qu’il expose en une vingtaine de
pages
précises, mesurées, et convaincantes. Il me semble que cette préface
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nfident », l’auteur. Peut-être avons-nous ici les
pages
les plus éloquentes et les plus irréfutables d’un penseur qui sut dev
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d lyrisme intellectuel (le style admirable de ces
pages
a été rendu aussi bien qu’il était possible par le traducteur). Mais
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is une sobriété qui vous saisit le cœur, à chaque
page
. Toute une vie de femme se déroule sur un rythme large à travers un p
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es faits, cités ici en très grand nombre à chaque
page
. Faits sinon nouveaux pour la plupart, en tout cas rassemblés pour la
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on, c’est qu’elle nous ouvre, en une quinzaine de
pages
, les principales perspectives de « l’univers » calvinien. Il faut bie
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il marque en même temps son dépassement. Ces 3000
pages
contiennent la somme de la problématique particulière à une école — e
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s’en défende dans sa préface. Cela nous vaut des
pages
fort curieuses sur la Nature, des élévations romantiques, telle descr
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ents d’un journal de jeunesse qui remplissent 200
pages
du premier tome, témoignent d’une véritable frénésie de problèmes, d’
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n’en a pas traduit une seule en France ! Quelques
pages
choisies, en appendice à une brève biographie ; une brochure sur la l
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n géniale des inventions concrètes — une à chaque
page
, au moins — qui peu à peu illustrent la psychologie la plus secrète d
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a littérature nordique). C’est à l’avant-dernière
page
seulement que le sens profond de l’œuvre entière est formulé : « Celu
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: elles sont dans les journaux. L’écho de cette
page
fut immense et je sais peu de phrases plus fréquemment citées que cel
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Vous avez consacré de nombreuses et passionnantes
pages
à l’amour. Qu’est-ce que l’amour pour vous ? L’amour c’est tout. Pour
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stantanément à mon livre, et j’ai terminé les 450
pages
en trois mois. Comme je l’ai écrit dans la préface, c’est un livre qu
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s devant un problème. J’ai écrit des centaines de
pages
de notes sur ce que ce mot Dieu peut évoquer pour l’esprit d’un homme