1 s différences. Chose curieuse, cette note de deux pages est publiée en appendice au livre dans lequel Kierkegaard raconte le

2 re où se proclame le poète. Enfin, aux dernières pages du livre, il ajoute ceci : « Toute mon œuvre a été en même temps mon

3 re pour mesure sa propre réaction à propos de ces pages . Parler de la passion autrement qu’en récrivant Wuthering Heights ou

4 embre 1956 Comment répondre à des centaines de pages , en majeure partie manuscrites, déclenchées par l’appel que diffuse l

5 ialectique Ayant publié plusieurs centaines de pages dans ses Temps modernes pour démontrer que la politique des communist

6 it juste, M. Sartre publie dans la même revue 119 pages pour démontrer que cette politique était fausse. Motif du revirement 

7 Budapest que trois petits articles qui font douze pages en tout. Si c’est être abondant, il n’y a pas de mot pour Sartre qui

8 a pas de mot pour Sartre qui a donné trois-cents pages sur Budapest, tandis que je ne connais rien de lui sur Suez à part ce

9 , mais le disait plus vite, encore que plus d’une page de notre auteur l’évoque, et rappelle le ton vif et percutant des pol

10 es changements d’icônes, qui occupent la première page de nos journaux (mais quelques lignes en dernière page des journaux r

11 de nos journaux (mais quelques lignes en dernière page des journaux russes), des éliminations moins visibles mais plus fonda

12 en du soir publiait l’automne dernier en première page la photo « exclusive » du synchrocyclotron « soviétique ». Cet appare

13 c’est surtout le rédacteur en chef, le metteur en pages d’un journal et celui qui choisit les nouvelles à passer, les « corps

14 ouvelle vraie devient fausse par sa seule mise en page , par les omissions qu’elle suppose, et par le fait qu’on ne l’a chois

15 on aime à retrouver dans son journal intime telle page ancienne, touchante, qui prévoyait le pire… Mais s’il est arrivé, c’e

16 ationaliste invétéré qui essaie de se mettre à la page . Un système bon pour les sauvages Mais Littré nous apprend autr

17 tingue les trois œuvres que je considère dans ces pages . Et l’on ne sent que trop les bonnes et graves raisons que j’ai de re

18 ur et des buts de la vie confèrent aux deux-mille pages de son dernier grand livre76 une puissance d’envoûtement que je n’ava

19 alyse : tout y passerait ! Non seulement ces deux pages se trouvent préfigurer une critique pénétrante de Lolita, mais elles

20 u, lorsqu’éclata la crise, que les cent premières pages du roman, je me disais : — Tout se passe comme si cet homme était ret

21 expliquer qu’il y a dix fautes par mot dans cette page malheureuse ? Erreur sur l’Allemagne, erreur sur la France, erreur su

22 , erreur sur vos propres motifs en écrivant cette page , erreur sur l’époque… Le compte y est-il ? En tous cas, c’en est trop

23 urraient plus le faire qu’à coups de bâtons et de pages de rhétorique. Déroulède est bien mort, Aragon ne suffit pas. Jean Mo

24 Car il n’est point de vérité sans forme. Quelques pages étranges et puissantes sur les chimères de Notre-Dame illustrent ce r

25 n bavardant, une platitude. Qu’il s’agisse de ses pages les plus denses ou des anecdotes qu’il contait avec un humour énergiq

26 rêche toujours âprement la guerre froide dans les pages de Preuves  ». « Cette revue essaie de prouver que la coexistence es

27 é et qui ressuscite en plein enthousiasme. Cette page introduisant les discours sur l’amour qui composent « In Vino Veritas

28 as une mention de Tristan — pour des centaines de pages enthousiastes et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart.

29 tout doit avoir lieu simultanément. Suivent cent pages au cours desquelles le Mari réitère à coup d’arguments philosophiques

30 rance — il est bien près de le dire en plus d’une page de ses Mémoires, et pas seulement aux premières phrases où il compare

31 vivant du groupe et qui est en train d’écrire ces pages . Ce ne seront pas des pages d’histoire, mais un essai de restituer l’

32 en train d’écrire ces pages. Ce ne seront pas des pages d’histoire, mais un essai de restituer l’atmosphère de l’époque, les

33 ond « Je vous demande simplement de nous lire les pages sur L’Attitude fédéraliste que vous avez publiées en 1940151. C’est l

34 47, Montreux, édité par l’UEF, Genève (1948), 142 pages . 153. On appelait alors plan Monnet l’ensemble des mesures visant à