1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 t de clocher se font une guerre acharnée dans ces pages , et ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une env
2 n’a rien à voir avec la critique littéraire. À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « … ils déménag
3 es révélations du second Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de
4 hme et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Mensonge de la distance et de la simplification ; vérité
5 , peu de temps après notre arrivée, en haut d’une page que je retrouve dans une pile de notes. La page est restée blanche. E
6 e page que je retrouve dans une pile de notes. La page est restée blanche. Et, toute réflexion faite, c’est bien ainsi, et t
7 ne paraîtraient pas loufoques ? Je reviens à mes pages , bien décidé à les refaire de fond en comble, à simplifier, à concrét
8 s, barré cinq lignes et mis une note au bas de la page . Il me semble vraiment que cela se tient. Il me semble aussi que c’es
9 lle, et différente à la commune et naturelle. Mon page faict l’amour, et l’entend : lisez-lui Léon Hebreu et Ficin ; on parl
10 tox. Une araignée parfois descend au-dessus de ma page , pédale de toutes ses pattes dans le vide, remonte, retombe, et court
11 chose nécessaire ?   Je viens d’interrompre cette page pour faire mes adieux au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouill
12 e langue. Il ne se passe pas grand-chose dans ces pages , mais ce peu m’a suffi pendant des mois, et qui sait si plusieurs de
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
13 934 Trop penser nuit. — Trop d’idées dans ces pages , trop de raisonnements ! me soufflait depuis quelques jours certain d
14 a dialogue, jusque dans ma solitude, ou dans ces pages , dès qu’un autre me fait réagir.) Me suis-je assez méfié du genre jou
15 tre de Journal d’un intellectuel en chômage les pages que je suis en train de rédiger à temps perdu. Il est assez sceptique
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
16 e livre que je portais, et j’avais coupé quelques pages avec mon ticket. Je tombai sur ce précepte du Bienheureux Henri Suso