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t de clocher se font une guerre acharnée dans ces
pages
, et ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une env
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n’a rien à voir avec la critique littéraire. À la
page
43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « … ils déménag
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es révélations du second Faust, mais aussi de ces
pages
du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de
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hme et les couleurs grandioses et irréelles de la
page
d’histoire. Mensonge de la distance et de la simplification ; vérité
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, peu de temps après notre arrivée, en haut d’une
page
que je retrouve dans une pile de notes. La page est restée blanche. E
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e page que je retrouve dans une pile de notes. La
page
est restée blanche. Et, toute réflexion faite, c’est bien ainsi, et t
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ne paraîtraient pas loufoques ? Je reviens à mes
pages
, bien décidé à les refaire de fond en comble, à simplifier, à concrét
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s, barré cinq lignes et mis une note au bas de la
page
. Il me semble vraiment que cela se tient. Il me semble aussi que c’es
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lle, et différente à la commune et naturelle. Mon
page
faict l’amour, et l’entend : lisez-lui Léon Hebreu et Ficin ; on parl
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tox. Une araignée parfois descend au-dessus de ma
page
, pédale de toutes ses pattes dans le vide, remonte, retombe, et court
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chose nécessaire ? Je viens d’interrompre cette
page
pour faire mes adieux au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouill
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e langue. Il ne se passe pas grand-chose dans ces
pages
, mais ce peu m’a suffi pendant des mois, et qui sait si plusieurs de