1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page . (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est rien de moins q
2 conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 7, le conflit de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des é
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
3 ucoup penseront que voilà qui suffit… Donnons une page à ce genre d’objections. ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de
4 ction à une Anthologie des troubadours, 1927. Une page plus loin notre auteur écrit d’ailleurs : « La noblesse du Midi, au c
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
5 ive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la même plainte de l’âme sur « l’abandon divin, tourment s
6 yant. Saint Jean de la Croix, qui décrivit en une page remarquable de pénétration psychologique les mouvements de la chair a
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
7 en général, par un mariage, prévu dès la première page et retardé jusqu’à la dix-millième lorsque l’auteur est un champion d
8 leur que mes feuilles de saule. » (Le reste de la page , admirable, jusqu’aux fameux orages désirés)153. ⁂ « Pour ces rationa
9 dans ses ruses inconscientes, en des centaines de pages , par Marcel Proust. (Voir surtout Un Amour de Swann.) Littérature bou
5 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
10 er à fond la matière rapidement explorée dans les pages qui précèdent, puis une solide culture militaire, enfin la somme des
6 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
11 x thèmes de réflexions, amorcés çà et là dans ces pages , pourront en constituer la conclusion ouverte. J’ai tenté de débrouil
12 e de la passion et du mensonge, j’ai insisté déjà pages 37 à 41 et page 154. 204. Je répète toutefois que le mariage ne saur
13 t du mensonge, j’ai insisté déjà pages 37 à 41 et page 154. 204. Je répète toutefois que le mariage ne saurait être fondé s
7 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
14 u’on l’aime. » — Or M. Gilson dit fort bien, deux pages plus loin, que « si Dieu est immanent sans être transcendant, il n’y