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t la Bible dénonce l’existence du diable à chaque
page
, de la première où il apparaît sous la forme du serpent, jusqu’à l’av
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ans Paris. Pour ma part, j’écrivis ce jour-là une
page
qui trouve ici son sens de parabole. À cette heure où Paris exsangue
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où nous vivons. Et puis enfin, je n’écris pas ces
pages
pour proposer après mille autres mes réformes. Le mal est trop profon
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charmes sataniques imprudemment évoqués dans ces
pages
, les confusions crépusculaires et larvaires où le Prince des ténèbres