1
ns leurs apparences. Et leurs rencontres dans ces
pages
ne sauraient être justifiées qu’à titre, si j’ose dire, de métaphores
2
ont su percevoir l’accent dominateur et tendu des
pages
les plus égales et sereines du Faust. Ce tempérament démoniaque, qu’
3
nt de tout pouvoir, s’évanouissent et meurent aux
pages
des livres. Au premier pas que nous faisons dans notre nuit, voici qu
4
ence les aventures spirituelles décrites dans les
pages
qui précèdent. I Le Procès, ou la loi qui conduit à la mort Je n
5
sonne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la dernière
page
, on le tue, mais dans des conditions trop déprimantes pour qu’il puis
6
foi. Et certes, je ne les ai confrontés, dans ces
pages
, que par le biais de leurs expressions : là où leurs expériences devi
7
tôt que « désarmé » comme il le dit aux premières
pages
) par les procédés de l’humaniste et du sceptique que se vantait d’êt
8
t perpétuelle question que nous posent toutes les
pages
de la Bible. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que le
9
s’arrêter…) Faute d’un « jugement » que ces 1300
pages
s’appliquent à dénoncer d’avance, réduisons-nous à des notes de lectu
10
ronique intermittente d’une existence. Malgré les
pages
plus élaborées que Gide a groupées çà et là sous des titres particuli
11
du malentendu l’entraîne à livrer au public 1300
pages
d’explications qui menacent d’aggraver l’équivoque. Mais alors, cela
12
Gide nous dit qu’il a supprimé de ses carnets les
pages
qu’il jugeait trop « écrites ». Entendons que l’effort de style y déf
13
s plus subtils de l’écriture est attesté par cent
pages
du Journal. Je n’oublie pas qu’il a coupé les morceaux trop « écrits
14
s les cafés. À tous il tend la Parole « morte aux
pages
» ; mais voici que de toutes parts les signes paraissent sur la terre
15
Grande heure de terreur et de prière… Puis, « la
page
du ciel a été tournée », ils se relèvent. « Il paraît bien qu’on n’es
16
irement détaillés. Mais l’important, c’est qu’une
page
de Ramuz, — même pas très réussie, et il y en a, il faut le dire, qui
17
n air de pastiche de Ramuz74 — c’est qu’une seule
page
de ce livre lue avec la lenteur qu’elle impose, nous replace dans une
18
acement que l’on puisse éprouver devant certaines
pages
où la simplicité touche à l’affectation, il faut admirer dans ces tex
19
tivé que Ramuz ; et cela dès 1917, dans certaines
pages
du Grand Printemps. Personne plus que lui ne serait digne de revendiq
20
duit cet aspect de « manifeste » qu’ont certaines
pages
trop volontaires de Ramuz, écrites en réaction contre le bon goût hel
21
le retour au Paradis perdu. Il faut citer ici une
page
des Souvenirs sur Stravinsky qui me paraît d’une importance extrême,
22
titre, et « connaissance » qui s’inscrit à chaque
page
. La rumeur quotidienne tend à faire de « poète » une circonstance att