1
se d’urgent à faire jusqu’à midi. J’ai écrit deux
pages
sur l’entrée d’Hitler à Paris, les ai recopiées, et envoyées à la Ga
2
’il fallait faire. Je recopie mon brouillon d’une
page
et demie. À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage e
3
. Mon article — je n’y pensais plus — en première
page
, à côté d’un appel à se taire lancé par le gouvernement vaudois ! Je
4
nifeste de la Ligue du Gothard. Il paraît sur une
page
entière dans soixante-quatorze journaux du pays. Frais payés sur les
5
. Des fenêtres de tous les bureaux neigeaient des
pages
d’annuaires lacérées, éclats d’or dans le feu des projecteurs. Puis c
6
eux maître, à un critique, à trois débutants à la
page
, antres sordides aux antichambres populeuses, c’était là que l’esprit
7
d’un séjour à New York. Écrit une cinquantaine de
pages
, sans ratures, sur les sujets les plus variés. En outre, terminé, tap
8
n petit article sur le diable. Dans les cinquante
pages
que je relis, cette note sur le roman me semble à retenir : « Au lieu
9
rit et celui que l’on imprime à sa vie ! Dans ces
pages
et dans mes circonstances, apparaît la nécessité urgente d’une péripé
10
mes manuscrits. Puis ils s’éloignent, tenant mes
pages
de toutes formes et couleurs entre deux doigts, feignant de les lire
11
illette rapidement, comme sans regarder, sort une
page
d’un petit geste nerveux : « Voilà ce que vous cherchiez, mon cher. U
12
e Hitler en fin de compte. J’écris vingt à trente
pages
par jour après des heures de recherches préparatoires. Abondance de d
13
y-Mouse s’empare de Superman (le héros favori des
pages
illustrées qui déshonorent la presse américaine). C’est ici que l’Amé
14
à l’OWI rédigeant bon gré mal gré mes vingt-cinq
pages
quotidiennes, je n’ai pu guère écrire que ces notes de journal, et de
15
vraies — elles le sont presque toutes. Entre les
pages
de l’exemplaire de Cooper trouvé dans la bibliothèque du salon, une p
16
uleux et sincères. Et moi qu’ai-je écrit dans ces
pages
dont un Américain ou un Européen qui aurait vécu longtemps ici ne pui