1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
1 asses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cents pages de plus ou de moins n’y changeront rien, dit le bon sens. Mais j’ai m
2 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
2 omme si cela n’allait pas de soi ! (Exemple : les Pages de journal d’André Gide.) Cette fausse honte ou cette mauvaise consci
3 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
3 avec les mains, IIe partie : La vertu d’autorité, pages 209 et suivantes. 69. Max Weber, luthérien « détaché », attribue l’e
4 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
4 t. Cependant, je ne l’ai guère modifié. (Quelques pages ont été coupées, parce qu’elles contenaient trop d’allusions à des in
5 ette douzaine-là ! —, l’insuffisance de plusieurs pages , l’outrance ou l’étroitesse de tel jugement que je confondais sans do
6 confirmé les prévisions sceptiques que j’énonçais page 185, mais aussi quelques-uns des espoirs plus lointains qui me poussa