1 1948, Suite neuchâteloise. II
1 ignorais encore quand on m’a proposé d’écrire ces pages sur mon pays natal. On insistait amicalement : je venais de rentrer,
2 1948, Suite neuchâteloise. III
2 Voici ce qu’il a cru démêler, en une vingtaine de pages où perce l’étonnement. « Le Prince se fait représenter en son absence
3 ler ce chaos. » Passons le détail, qui tient deux pages . Coxe en conclut, non sans hésitation, que l’autorité législative sem
3 1948, Suite neuchâteloise. V
4 c, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces pages de confidences pudiques, pleines d’idéal et de mélancolie, mais sans
4 1948, Suite neuchâteloise. VIII
5 enir et à guérir. Il convenait qu’au terme de ces pages j’apporte aussi ma petite contribution au centenaire que l’on va célé