1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page . (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est rien moins que
2 conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page  16, le conflit de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
3 ucoup penseront que voilà qui suffit… Donnons une page à ce genre d’objections. ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de
4 nt plus à faire69. Et je pourrais ici remplir des pages de citations d’Arabes et de Provençaux dont nos grands spécialistes d
5 longues années sur les problèmes soulevés par les pages qui précèdent, j’éprouve le besoin de rassembler ici tout un faisceau
6 « preuves » écrites. 44. On la trouvera formulée page  84, et discutée plus amplement au chapitre 10. 45. Otto Rahn, Croisa
7 a comparaison poursuivie pendant des centaines de pages entre les conceptions religieuses de Gottfried et les doctrines d’Aug
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
8 ive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la même plainte de l’âme sur « l’abandon divin, tourment s
9 yant. Saint Jean de la Croix, qui décrivit en une page remarquable de pénétration psychologique les mouvements de la chair a
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
10 en général, par un mariage, prévu dès la première page et retardé jusqu’à la dix-millième lorsque l’auteur est un champion d
11 leur que mes feuilles de saule ». (Le reste de la page , admirable, jusqu’aux fameux orages désirés171.) ⁂ « Pour ces rationa
12 dans ses ruses inconscientes, en des centaines de pages , par Marcel Proust. (Voir surtout Un Amour de Swann.) Littérature bou
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
13 er à fond la matière rapidement explorée dans les pages qui précèdent, puis une solide culture militaire, enfin la somme des
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
14 x thèmes de réflexions, amorcés çà et là dans ces pages , pourront en constituer la conclusion ouverte. J’ai tenté de débrouil