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n : corps-âme-esprit. On va donc trouver dans ces
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des réflexions nouvelles sur les mythes érotiques dans la culture occ
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critiques me reprochent de « confondre » dans ces
pages
l’amour divin, la passion et le désir, l’Agapè, l’éros et l’aphros ;
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uger. Qu’il reste donc bien entendu que, dans ces
pages
liminaires et dans les essais qui les suivent, je n’utilise jamais le
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tingue les trois œuvres que je considère dans ces
pages
. Et l’on ne sent que trop les bonnes et graves raisons que j’ai de re
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ur et des buts de la vie confèrent aux deux-mille
pages
de son dernier ouvrage20 une puissance d’envoûtement que je n’avais p
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alyse : tout y passerait ! Non seulement ces deux
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se trouvent préfigurer une critique pénétrante de Lolita, mais elles
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, lorsque éclata la crise, que les cent premières
pages
du roman, je me disais : — Tout se passe comme si cet homme était ret
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rien22. Plongé comme je l’étais, en écrivant les
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qui précèdent, dans la lecture alternée de Kierkegaard et de Shakespe
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s différences. Chose curieuse, cette note de deux
pages
est publiée en appendice au livre dans lequel Kierkegaard raconte le
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vre où se proclame le poète. Enfin, aux dernières
pages
du livre, il ajoute ceci : « Toute mon œuvre a été en même temps mon
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é et qui ressuscite en plein enthousiasme. Cette
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introduisant les discours sur l’amour qui composent In Vino Veritas,
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as une mention de Tristan — pour des centaines de
pages
enthousiastes et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart.
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out doit avoir lieu simultanément. » Suivent cent
pages
au cours desquelles le Mari réitère à coup d’arguments philosophiques
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France, il est bien près de le dire en plus d’une
page
de ses mémoires, et pas seulement aux premières phrases où il compare
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j’avais écrit pour un Hommage collectif quelques
pages
dont le ton personnel me paraissait convenir à l’occasion. Je vais le
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être sans désir). Dans Si le grain ne meurt, à la
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où il décrit sa première expérience avec un jeune garçon, il proclame
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majeur cela même dont il gémira en tant d’autres
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de son œuvre : « Ma joie fut immense et telle que je ne la pusse imag
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Car il n’est point de vérité sans forme. Quelques
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étranges et puissantes sur les chimères de Notre-Dame illustrent ce r
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n bavardant, une platitude. Qu’il s’agisse de ses
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les plus denses ou des anecdotes qu’il contait avec un humour énergiq
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ignifie l’absolue négation du moi », ajoute trois
pages
plus loin : « Nous devenons vraies personnes dans la mesure où nous f
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ouchant l’amour, celles qui peuvent illustrer les
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précédentes. Je n’ai considéré que les as. Il y a bien d’autres chose
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ur, le mariage et la sexualité tiennent en peu de
pages
. Les voici. Amour divin Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné
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Dans la seconde version de L’Amour et l’Occident (
pages
100 à 108), je soutenais l’hypothèse qu’un pareil procédé fût aussi l