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nt on suivra les essais de mise au point dans ces
pages
. Le journal non intime me paraît se situer à une distance égale, auss
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rétaire de la Sérénissime, qui rapporte en 40 000
pages
occupant 58 volumes les faits et gestes publics des Vénitiens de 1496
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33 ; et par Henri-Frédéric Amiel, dont les 16 000
pages
de journal on ne peut guère plus intime finiront bien par être publié
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je me suis arrêté le temps d’écrire ces quelques
pages
. à Ferney, le 5 mai 1967. D. de R.
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monstrueuse. Apparemment, l’on est ici plus à la
page
que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux
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uche quelques accords, l’acteur Moissi tourne les
pages
et secoue ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un
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re de sa vie », dont il compose chaque matin deux
pages
à la machine. Il y juge du monde en général, de la religion, des mœur
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es avec le commerce quotidien. J’en traduis cette
page
Sur la mort. Mes funérailles devront se dérouler dans le cadre de Jé
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erther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les
pages
, à cause de toutes ces larmes qu’il verse. Maintenant, parlez-moi du
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volutionnaire ». Il me remit un manifeste de deux
pages
dont cette phrase me frappa, tapée en majuscule : « ni individualis
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, qui se fera chez moi rue Saint-Placide, mise en
pages
, corrections, etc. Sur un tout autre plan qu’ Esprit , péguyste et ca
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ions — après les avoir faites. ⁂ Je retrouve une
page
datée de février 1933, où je notais les réactions à ce Cahier d’une v
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es, ou AEAR (Lefebvre, Nizan), disposaient de dix
pages
; l’extrême droite (Th. Maulnier) de quatre pages ; deux marxisants (
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pages ; l’extrême droite (Th. Maulnier) de quatre
pages
; deux marxisants (Ph. Lamour, Sylveire) de cinq pages ; et trois gro
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; deux marxisants (Ph. Lamour, Sylveire) de cinq
pages
; et trois groupes personnalistes, L’Ordre nouveau (Dandieu, Aron e
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bat (Marc et Dupuis) se partageaient vingt et une
pages
; mes conclusions faisant le reste d’un cahier de quarante-cinq pages
17
ons faisant le reste d’un cahier de quarante-cinq
pages
. Les représentants de l’AEAR n’étaient donc nullement « noyés parmi l
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Hic et Nunc , n° 1.) 24. J’ai sous les yeux une
page
ronéotée qui doit dater de 1936. Il s’agit d’un « Programme présenté
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t de clocher se font une guerre acharnée dans ces
pages
, et ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une env
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n’a rien à voir avec la critique littéraire. À la
page
43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « …ils déménage
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es révélations du second Faust, mais aussi de ces
pages
du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de
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hme et les couleurs grandioses et irréelles de la
page
d’histoire. Mensonge de la distance et de la simplification ; vérité
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, peu de temps après notre arrivée, en haut d’une
page
que je retrouve dans une pile de notes. La page est restée blanche. E
24
e page que je retrouve dans une pile de notes. La
page
est restée blanche. Et, toute réflexion faite, c’est bien ainsi, et t
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ne paraîtraient pas loufoques ? Je reviens à mes
pages
, bien décidé à les refaire de fond en comble, à simplifier, à concrét
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s, barré cinq lignes et mis une note au bas de la
page
. Il me semble vraiment que cela se tient. Il me semble aussi que c’es
27
lle, et différente à la commune et naturelle. Mon
page
faict l’amour, et l’entend : lisez-lui Léon Hebreu et Ficin ; on parl
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tox. Une araignée parfois descend au-dessus de ma
page
, pédale de toutes ses pattes dans le vide, remonte, retombe, et court
29
chose nécessaire ? Je viens d’interrompre cette
page
pour faire mes adieux au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouill
30
e langue. Il ne se passe pas grand-chose dans ces
pages
, mais ce peu m’a suffi pendant des mois, et qui sait si plusieurs de
31
934 Trop penser nuit. — Trop d’idées dans ces
pages
, trop de raisonnements ! me soufflait depuis quelques jours certain d
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a dialogue, jusque dans ma solitude, ou dans ces
pages
, dès qu’un autre me fait réagir.) Me suis-je assez méfié du genre j
33
tre de Journal d’un intellectuel en chômage les
pages
que je suis en train de rédiger à temps perdu. Il est assez sceptique
34
e livre que je portais, et j’avais coupé quelques
pages
avec mon ticket. Je tombai sur ce précepte du Bienheureux Henri Suso
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ère un peu différente. S’il a tardé à publier ces
pages
, c’est justement qu’à son retour d’Allemagne, il n’était pas encore f
36
e ceux qui voudraient lire les journaux comme une
page
d’histoire. Mais il faut reconnaître que la plupart des hommes ne dem
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une espèce d’objectivité anticipée : d’où cette «
Page
d’histoire » que je donnais comme extraite d’un manuel futur : Leçon
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! je répondrai qu’alors il n’y en a point. 64.
Pages
écrites en manière de postface aux traductions du Journal d’Allemagn
39
n ne prévoyait que deux parties d’une centaine de
pages
chacune, l’une sur la passion, l’autre sur le mariage. Après quelques
40
se d’urgent à faire jusqu’à midi. J’ai écrit deux
pages
sur l’entrée d’Hitler à Paris, les ai recopiées, et envoyées à la Ga
41
’il fallait faire. Je recopie mon brouillon d’une
page
et demie. « à cette heure où paris… » À cette heure où Paris exs
42
. Mon article — je n’y pensais plus — en première
page
, à côté d’un appel à se taire lancé par le gouvernement vaudois ! Je
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rnaux du pays. Dans chacun, nous avons acheté une
page
entière. (Formule de la publicité politique ou philanthropique aux Ét
44
: Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? Dernière
page
: La création de la Ligue du Gothard a produit un choc salutaire sur
45
is, naturellement, quand j’ai rédigé ces quelques
pages
. Mi-août 1940 Réunion du directoire de la Ligue à Zurich, dans
46
. Des fenêtres de tous les bureaux neigeaient des
pages
d’annuaires lacérées, éclats d’or dans le feu des projecteurs. Puis c
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eux maître, à un critique, à trois débutants à la
page
, antres sordides aux antichambres populeuses, c’était là que l’esprit
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d’un séjour à New York. Écrit une cinquantaine de
pages
, sans ratures, jaillies de ce cauchemar dont je ne m’éveillerai plus,
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t d’un long poème sur l’exil. Dans les cinquante
pages
que je relis, cette note sur le roman me semble à retenir : « Au lieu
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rit et celui que l’on imprime à sa vie ! Dans ces
pages
et dans mes circonstances, apparaît la nécessité urgente d’une péripé
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mes manuscrits. Puis ils s’éloignent, tenant mes
pages
de toutes formes et couleurs entre deux doigts, feignant de les lire
52
lare la guerre aux US Cela tient presque toute la
page
, et au-dessous, en petits caractères : Moi aussi ! dit Mussolini. L’a
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ars 1942 Donné à taper les cinquante premières
pages
. Puis erré sur Fifth Avenue dans la foule ralentie du samedi. Ce n’es
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illette rapidement, comme sans regarder, sort une
page
d’un petit geste nerveux : « Voilà ce que vous cherchiez, mon cher. U
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e Hitler en fin de compte. J’écris vingt à trente
pages
par jour après des heures de recherches préparatoires. Abondance de d
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à l’OWI rédigeant bon gré mal gré mes vingt-cinq
pages
quotidiennes, je n’ai pu guère écrire que ces notes de journal, et de
57
s de nos « bons » auteurs qu’on trouvait à chaque
page
chez Valéry, chez Gide et leurs disciples et qui en anglais retombent
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vraies — elles le sont presque toutes. Entre les
pages
de l’exemplaire de Cooper trouvé dans la bibliothèque du salon, une p
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leux et sincères. Et moi, qu’ai-je écrit dans ces
pages
dont un Américain ou un Européen qui aurait vécu longtemps ici ne pui