1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page . (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est rien moins que
2 conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 21, le conflit de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
3 ucoup penseront que voilà qui suffit… Donnons une page à ce genre d’objections. ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de
4 nt plus à faire61. Et je pourrais ici remplir des pages de citations d’Arabes et de Provençaux dont nos grands spécialistes d
5 longues années sur les problèmes soulevés par les pages qui précèdent, j’éprouve le besoin de rassembler ici tout un faisceau
6 « preuves » écrites. 37. On la trouvera formulée page 108, et discutée plus amplement au chapitre 10. 38. Otto Rahn, Crois
7 a comparaison poursuivie pendant des centaines de pages entre les conceptions religieuses de Gottfried et les doctrines d’Aug
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
8 ive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la même plainte de l’âme sur « l’abandon divin, tourment s
9 yant. Saint Jean de la Croix, qui décrivit en une page remarquable de pénétration psychologique les mouvements de la chair a
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
10 en général, par un mariage, prévu dès la première page et retardé jusqu’à la dix-millième lorsque l’auteur est un champion d
11 aleur que mes feuilles de saule. » Le reste de la page , admirable, jusqu’aux fameux orages désirés160. ⁂ « Pour ces rational
12 dans des ruses inconscientes, en des centaines de pages , par Marcel Proust. (Voir surtout Un Amour de Swann.) Littérature bou
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
13 er à fond la matière rapidement explorée dans les pages qui précèdent, puis une solide culture militaire, enfin la somme des
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
14 x thèmes de réflexions, amorcés çà et là dans ces pages , pourront en constituer la conclusion ouverte. J’ai tenté de débrouil
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
15 ur Charles le Chauve, son suzerain. Accompagné du page , il va à Constantinople demander à l’empereur ses deux filles : l’aîn
16 u’on t’aime. » — Or M. Gilson dit fort bien, deux pages plus loin, que « si Dieu est immanent sans être transcendant, il n’y
17 lisme, 1924, et Les Vases communicants, 1932, les pages sur le rêve, sa nécessaire revalorisation à la suite de Freud, mais a
8 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
18 ce n’est dans quelque note méfiante au bas d’une page . Et voilà qui est normal, puisqu’il est, m’assure-t-on, de la nature
19 u faire, et Jean Delay consacre à cela vingt-cinq pages du premier tome de La Jeunesse d’André Gide. Mme Lot-Borodine, aussit
20 Livre II.) Mais il y a plus étrange dans la même page , quand il croit voir la Sagesse : Elle était à la fois loin et près,
21 e du bain, si chargée d’érotisme : voir plus haut page 29). Et non seulement le philtre intervient de l’extérieur et par acc
22 des troubadours. La mélodie est notée sur la même page . Pour la suite du poème, j’ai repris et un peu modifié la traduction
23 i, par tout mon livre ! Si un pavé de près de 400 pages assez serrées est enregistré par Sartre comme une simple suggestion,
24 stion, on comprend mieux qu’il ait besoin de 5000 pages pour traiter vraiment un sujet, fût-il aussi considérable que sa hain