1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 ton, des pesticides et des engrais chimiques, une page des plus lucides du Capital met en évidence la liaison — plutôt prévu
2 que — si lucidement anticipée par Marx dans cette page . Ils n’y veulent voir, comme le tiers-monde, qu’une « dernière défens
3 , mais telle est bien aussi la vraie portée de la page de Marx : dans les deux cas, il ne s’agit que d’attitudes de l’homme
4 achez-le, et cette phrase-là est répétée à chaque page de cet ouvrage, expressément, implicitement, ou en filigrane : il n’y
5 it d’un texte « confidentiel » d’une trentaine de pages ronéotées, présenté par le professeur J. W. Forrester à la commission
2 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
6 nt réussi. Un seul exemple, ici, me suffira. À la page 54 de l’ouvrage qui l’a rendu célèbre, L’An 2000, Herman Kahn groupe
3 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
7 Et cette pollution est la cause (voir plus haut, page 34) non seulement de la ruine de pêcheries prestigieuses, mais probab
8 nner une apparence d’utilité publique. » À chaque page de ses livres, on pourrait relever les sophismes plus ou moins consci
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
9 onsacre dans l’un de ses derniers ouvrages165 des pages d’une objectivité et d’un bon sens impitoyables : « Aujourd’hui nous
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
10 s sociales et politiques proposées au long de ces pages , et qui vont des petites communautés à la fédération du continent, pr
11 cause de confirmation prématurée, une centaine de pages destinées à ce livre, dont le ton prophétique eût paru plutôt ridicul