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, la Bible dénonce l’existence du diable à chaque
page
, de la première où il apparaît sous la forme du serpent, jusqu’à l’av
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s dénommons diable, et j’accepte ce nom. Dans les
pages
qui suivent, je voudrais exposer la conception biblique du diable, no
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core qu’un lecteur peut tirer, malgré moi, de ces
pages
. Dès que vous croyez apercevoir le diable, parce qu’il en a fait un p
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ans Paris. Pour ma part, j’écrivis ce jour-là une
page
qui trouve ici son sens de parabole. À cette heure où Paris exsangu
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questionnaires, dont l’un au moins comportait 32
pages
. Ces confessions générales m’ont valu, je dois le dire, autant d’abso
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où nous vivons. Et puis enfin, je n’écris pas ces
pages
pour proposer après mille autres mes réformes. Le mal est trop profon
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charmes sataniques imprudemment évoqués dans ces
pages
, les confusions crépusculaires et larvaires où le Prince des ténèbres
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chi. 7 mars Donné à taper les cinquante premières
pages
. Puis erré sur Fifth Avenue dans la foule ralentie du samedi. Ce n’es
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. Laplanche et J.-B. Pontalis : vous y lirez à la
page
348 : Deux acceptions de la projection : a) Dans un sens comparable