1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
1 uche quelques accords, l’acteur Moissi tourne les pages et secoue ses mèches, Elizabeth Schumann, adossée au piano, chante un
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
2 à l’impudeur. Apparemment, l’on est ici plus à la page que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 re de sa vie », dont il compose chaque matin deux pages à la machine. Il y juge du monde en général, de la religion, des mœur
4 es avec le commerce quotidien. J’en traduis cette page Sur la mort : « Mes funérailles devront se dérouler dans le cadre de
5 erther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages , à cause de toutes ces larmes. Maintenant, parlez-moi du modernisme é
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
6 Quand je me souviens — C’est l’Europe Ces pages sont nées à des dates différentes d’un même état de sensibilité, dont
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
7 ignorais encore quand on m’a proposé d’écrire ces pages sur mon pays natal. On insistait amicalement : je venais de rentrer,
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
8 Voici ce qu’il a cru démêler, en une vingtaine de pages où perce l’étonnement. Le Prince se fait représenter en son absence
9 ller ce chaos. Passons le détail, qui tient deux pages . Coxe en conclut, non sans hésitation, que l’autorité législative sem
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
10 c, et devenait protestante en secret. J’ai lu ces pages de confidences pudiques, pleines d’idéal et de mélancolie, mais sans
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
11 enir et à guérir. Il convenait qu’au terme de ces pages j’apporte aussi ma petite contribution au centenaire que l’on va célé