1 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
1 tres — qu’est la guerre totale, cancer de notre «  paix  ». Il n’y a de liberté possible pour les communes et les personnes qu
2 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
2 ’une heure à l’autre ? C’était Munich, c’était la paix , cela n’arrangeait pas mes affaires. Car voici ce qui m’était arrivé.
3 Diète de Stans où le message de Nicolas sauve la paix à la onzième heure, ce n’est plus un souvenir de manuel, c’est le Mun
4 des Suisses, c’est l’éternel miracle du don de la paix , toujours immérité… Au matin, la pièce était faite. Non pas écrite, b
5 it subir, à partir de ce jour, le sort même de la paix qu’elle chantait. Je vous ai raconté cette histoire pour apporter un
6 en… Quel sera le destin de ce drame ? Celui de la paix , je le répète. Joignons alors notre prière à celle du peuple suisse,
7 tous en chœur, levez-vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, tous, encor, jubilez et riez ! Ba
8 tous, au loin, et quiconque entendra : Louez la paix , mémorable victoire ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! 4. Je sai
3 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
9 suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix , puisque l’autre aboutit à la guerre. Ce n’est pas notre orgueil qui
4 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
10 talitaire, et seule base possible et solide de la paix que nous espérons. C’est très facile à dire, et ce n’est pas très neu
11 e, au sens littéral de ce mot. Profitons de notre paix matérielle pour le parfaire et pour l’approfondir, jusque dans le dét
12 diat. Nul besoin cette fois-ci, d’attendre que la paix s’approche pour s’y mettre. Notre vocation intérieure est pour le mom
5 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
13 e deux œuvres, mais surtout : — entre l’espèce de paix que nous laissa l’hiver, et la guerre qui revient nous avertir, au se
14 sser surprendre. » C’est qu’il ne croit plus à la paix . Tous les deux ont de bonnes raisons. Car il est vrai que la guerre n
15 de tact, que disait-il : — La France aime tant la Paix qu’elle n’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple ami. (Il e
16 edouter la guerre, parce qu’on la verrait dans la paix , là où chacun livre son vrai combat. 21 mai 1939 Promenade au Bois av
17 s dans notre souvenir, le dernier printemps de la paix … 5 juin 1939 L’origine de toutes nos haines, l’origine de toute amert
6 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
18 oi donc voulez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la sécurité ? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que n
7 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
19 que la guerre sut obtenir de nous, il faut que la paix le maintienne et le développe au maximum. Prenons un cas concret : Si
8 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
20 rrière-pensée. (Comparez avec certaines offres de paix « pour vingt-cinq ans » que faisait naguère à ses voisins un homme do
9 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
21 suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix , puisque les autres aboutissent à la guerre. Ce n’est pas notre orgue