1
xception qui sont rarement rapportées une fois la
paix
rétablie. Si bien que chaque guerre amène le renforcement de l’État c
2
l’oppression, à la misère ; une Europe unie à la
paix
, à la prospérité. Sauvez l’Europe et vos enfants ! Quelques années p
3
tégrant dans une unique organisation fédérale. La
paix
européenne est la clé de la voûte de la paix du monde. En effet, dans
4
. La paix européenne est la clé de la voûte de la
paix
du monde. En effet, dans l’espace d’une seule génération, l’Europe a
5
ructure à l’abri de laquelle elle puisse vivre en
paix
et en sécurité. Nous devons construire une sorte d’États-Unis d’Europ
6
tte union l’Europe joue son destin et celui de la
paix
du monde. Soit donc notoire à tous que nous, Européens, rassemblés po
7
cette œuvre de salut public, suprême chance de la
paix
et gage d’un grand avenir, pour cette génération et celles qui la sui
8
avoir su depuis des siècles que la prospérité, la
paix
sociale, les libertés civiques et la sécurité appellent un régime féd
9
chances de la vie, c’est-à-dire des chances de la
paix
, et du maintien des libertés, donc du progrès des responsabilités civ
10
uvelables, et nos indices de chômage. Assurer la
paix
? Nos États se préparent plutôt, pour rétablir leur balance commercia
11
vertus, les armes de guerre que les procédures de
paix
. Il est plus facile de s’approprier les recettes du nationalisme arro
12
logique des souverainetés absolues, soit vers la
paix
par la formation progressive de fédérations de régions nous paraissen
13
mmunautés, ni donc de régions, ni d’Europe, ni de
paix
, ni de futur. Commençons par remplacer le système qui multiplie les o
14
ie industrielle en pleine crise, finalement de la
paix
, et donc très concrètement, dans notre ère atomique, de la survie de
15
le, l’Europe, et vous voulez une seule chose : la
Paix
. (1878) al. « Rapport au peuple européen », Construire, Zurich, n
16
ple, l’Europe, et vous voulez une seule chose, la
Paix
. ao. « Une Europe unie et diverse », Ouest-France, Rennes, 27 août
17
la condition de notre sécurité et d’une possible
paix
future. L’union de l’Europe est apparue indispensable au lendemain de
18
st Ruh dit Goethe : sur tous les sommets règne la
paix
. 4° Pas d’Europe indépendante et viable sans l’apport créateur toujou
19
t servir la guerre et techniques au service de la
paix
psychique d’abord, politique ensuite, entre Croix-Rouge et croix gamm
20
conduit à la guerre, la seconde exige et crée la
paix
. C’est dire que la seconde seule peut concourir à l’objet principal d
21
Europe n’est concevable qu’au titre de facteur de
paix
, et sur la base d’une unité de culture dont la finalité dernière soit
22
ser la vie et non sa destruction, c’est-à-dire la
paix
et non la guerre. Certes, ce n’est pas aux gouvernements ni à leurs e
23
ais les espoirs de l’Europe fédérale — donc de la
paix
. 15. Voir Naissance de l’Europe des régions , Bulletin du Centre
24
et l’amour de la complexité sont des moyens de la
paix
et de la non-violence, tandis que la volonté de simplifier qui s’expr
25
tuer des innocents dans une partie où se joue la
paix
, c’est-à-dire la survie du genre humain ? L’accusé véritable en cette
26
fin se replacer au premier rang des puissances de
paix
, comme l’avait suggéré deux ans plus tôt la dernière phrase de L’Espr
27
d’entrée de jeu, c’est qu’un fédéralisme lié à la
paix
comme l’État-nation l’est à la guerre, doit partir d’en bas, des raci
28
saire des coutumes et des lois locales. Or, cette
paix
que seule procure l’unité essentielle dans la diversité de l’existenc
29
absolue. « La tunique sans couture » du monde en
paix
sous « le divin Auguste monarque, et Paul nomma cet état très heureux
30
al d’union européenne dans tous les congrès de la
paix
et de la fédération des peuples qu’il a traversés pendant vingt ans,
31
projets œcuméniques. Et Kant, auteur de Projet de
paix
perpétuelle (1795), texte fédéraliste s’il en fût, dans lequel il dém
32
ressivement à tous les États et les conduire à la
paix
perpétuelle, peut se concevoir. « Aux yeux de la raison, il n’y a pas
33
s-Unis et de Sakharov en URSS, leur lutte pour la
paix
) ; et quatrièmement, adapter le métier lui-même aux exigences de la s
34
1938. 51. Cf. notamment « Les communistes et la
paix
» dans la revue Les Temps modernes, juillet à novembre 1952, et « Le
35
ue préparer la guerre est le sûr moyen d’avoir la
paix
. Non ! Quand tout le monde prépare la guerre, il est fatal qu’on fini
36
t de porter des armes et de tuer pour défendre la
paix
et leur pays, les moyens d’agir en bonne conscience et solidarité, et
37
Si la Suisse se lançait dans la bataille pour la
paix
, si elle suivait une politique cohérente, radicale, de refus de la gu
38
civique. Les moyens de guerre psychologique et de
paix
seront beaucoup plus importants que les moyens militaires. Ce qui s’
39
ait répondu à l’appel d’une finalité, fût-elle de
paix
, de bonheur, d’équilibre, de liberté et de responsabilité accrues de
40
uts que les religions assignent à l’humanité : la
paix
, la liberté, l’amour. Informer au sens d’aujourd’hui (des médias) n’e
41
ait répondu à l’appel d’une finalité, fût-elle de
paix
, de bonheur, d’équilibre, de liberté et de responsabilité accrues de
42
uts que les religions assignent à l’humanité : la
paix
, la liberté, l’amour. Informer au sens d’aujourd’hui (des médias) n’e
43
e saisira parfois les secrets de l’ordre et de la
paix
que dans l’amour transcendental de Bach. Et c’est tout le romantisme
44
ivante des valeurs originales. Spinoza définit la
paix
comme « l’harmonie des âmes fortes ». Nous pourrions pareillement déf
45
densant tout ce que nous avons d’expérience de la
paix
, elles convoient et contiennent en même temps un indiscutable dynamis
46
s les espoirs de l’Europe fédérale, et donc de la
paix
. bm. Préface à Charles Ricq, Les Travailleurs frontaliers en Europe