1
ulation soviétiques. Le plus grand danger pour la
paix
du monde — le seul danger, disent les uns — serait constitué par les
2
us. En particulier, on ne comprend pas comment la
paix
mondiale peut être défendue par les armes nucléaires, premier moyen q
3
Des régions à la
paix
pour l’union de l’Europe (juillet-août 1982)j 1. La formule de l’É
4
à la condition préalable de l’établissement d’une
paix
solide dans le monde de la fin du xxe siècle. Il faut donc dépasser
5
des libertés populaires, garantie de la monnaie,
paix
sociale, sécurité de l’emploi, préservation de l’environnement. Voulo
6
édération continentale : c’est autant dire, de la
paix
de l’Europe, condition de la paix du monde. Œuvre de longue haleine,
7
ant dire, de la paix de l’Europe, condition de la
paix
du monde. Œuvre de longue haleine, direz-vous ? — Il n’y a donc pas u
8
ne seule minute à perdre. j. « Des régions à la
paix
pour l’union de l’Europe », L’Humaniste, Genève, n° 4, juillet-août 1
9
e plus important que l’Europe, je veux dire de la
Paix
. Les divers travaux que j’ai pu entendre ici m’ont permis d’entrevoir
10
gée aujourd’hui. Il nous faut une culture pour la
paix
, donc une culture de dialogue, et non pas d’affrontements. Comment lu
11
: il s’agit d’une ultime tentative pour sauver la
paix
. Hitler ouvre l’album où il fait coller chaque jour les articles paru
12
erreur, tel est le nom qu’ils ont inventé pour la
paix
. Nous disons que cet équilibre ne saurait être maintenu jusqu’au bout
13
que le choix solaire est la condition même de la
paix
: car il signifie du même coup la fin de la centralisation autoritair
14
États, mais des régions, le moyen de restaurer la
paix
. Elle serait aussi le seul moyen de lutter contre les menaces de guer
15
ut créer vite cette Europe en tant que facteur de
paix
qui empêchera peut-être l’URSS de régler ses débats intérieurs par un
16
, je dirais qu’aujourd’hui ce ne peut être que la
paix
— la lutte pour la paix — étant donné l’équation que nous sommes bien
17
ui ce ne peut être que la paix — la lutte pour la
paix
— étant donné l’équation que nous sommes bien obligés de faire entre
18
. Quel est le but général de tout cela ? C’est la
paix
. Si vous voulez absolument un mythe, c’est le seul que je puisse prop
19
opéens pour leur propre salut et pour celui de la
paix
. Tout se passait entre Européens, issus de la Résistance française, b
20
g Lukács, j’ai soutenu la thèse que le sort de la
paix
dépendait désormais d’une union — que je souhaitais fédérale, c’est-à
21
cette œuvre de salut public, suprême chance de la
paix
et gage d’un grand avenir, pour cette génération et celles qui la sui
22
celui de l’Équilibre de la terreur, garant de la
paix
, nous assure-t-on. « Les deux buts du Parti, écrit Orwell, sont de co
23
omique mais des esprits, au nom du maintien de la
Paix
. Ainsi se trouve également justifiée la fameuse devise adoptée par le
24
adoptée par le Parti unique : la Guerre, c’est la
Paix
. Voilà donc le premier grand But atteint. Quant au second, qui est d
25
ois libres et responsables : et cela peut être la
Paix
. Ce dilemme domine notre siècle, commande l’avenir de notre humanité
26
ion civique, de se faire « Suisses » : formule de
paix
. t. « Trois manières de considérer le nucléaire », préface à Oui p
27
Victor Hugo des discours sur l’Europe et pour la
paix
, le Rimbaud d’Une saison en enfer, et tout près de nous, le Valéry de