1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 à notre place modeste, si peu que ce soit pour la paix  », c’est une affirmation qui d’un coup condamne beaucoup d’antérieure
2 s hommes qui « descendirent » du front dans notre paix lassée, ne prend-elle pas une pathétique signification ? Pourtant ici
3 éments contraires s’unissent dans la grandeur. La paix qu’il appelle, c’est autre chose que l’absence de guerre, c’est une p
4 st autre chose que l’absence de guerre, c’est une paix que travaillerait le levain des vertus guerrières. « Il faut que la p
5 le levain des vertus guerrières. « Il faut que la paix , ce soit vivre. » Par tout un livre libéré de souvenirs héroïques, pe
6 ouvenirs héroïques, peut-être trop grands pour la paix , c’est vers de plus sereines exaltations qu’il va porter son ardeur.
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
7 ant des troupes accourues, il meurt en clamant la paix . M. Fabre avait là les éléments d’un grand roman : autour d’un sujet
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
8 oppose. Ce ne sont pas les termes d’un traité de paix . Entre moi et vous, c’est la guerre. » Voilà pour les critiques, « pu
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
9 e crois que les pacifistes qui veulent assurer la paix par la mutilation des passions sont disciples d’Origène. Il doit y av