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Souvenir de la
paix
française (15 mars 1941)e Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un lon
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en arrondies : martine je suis aux champs
Paix
du village, silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les b
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ait mes adieux à la France. e. « Souvenir de la
paix
française », Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 73-74, 15 mars 1941, p
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’Évangile dans le texte original dit simplement :
Paix
sur la terre, bonne volonté (de Dieu) envers les hommes. Est-il besoi
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62 : Paul Tillich vient de recevoir le Prix de la
paix
, décerné à la Foire du livre de Francfort. L’Allemagne enfin le redéc
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un confort. Pas une maison à 20 km à la ronde. La
paix
totale. Je coupe du bois, je lis, je dors, je médite et je récupère.
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duel, de santé mentale, de beauté du milieu et de
paix
des disciplines farouches qu’imposent à la majorité de nos contempora
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e pour garantir leur concurrence féconde, dans la
paix
. Je ne vois pas d’autre réponse imaginable au défi que l’Histoire nou
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la société politique ; le reste — la justice, la
paix
, la liberté — étant manières de parler plus ou moins nobles, ou pure
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rincipes qui seront un jour destinés à assurer la
paix
en Europe… Si cet idéal de l’avenir se réalise, la nationalité suisse