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ent à une vérité absolue, qui vaille mieux que la
paix
et le bonheur, pour oser bouleverser la petite vie de notre île. À no
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ils. Ils proclament au contraire leur amour de la
paix
, et ils le prouvent, l’un en relevant nos ruines, et l’autre en annex
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s clairement s’il s’agit de poser les bases de la
paix
ou de s’assurer des bases pour faire la guerre, mais il reste évident
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ue si les deux Grands continuent à se déclarer la
paix
sur ce ton-là, cela finira par des coups. Une seule puissance pourrai
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rer et les forcer au compromis, je veux dire à la
paix
, c’est l’Europe. Mais l’Europe n’est plus une puissance, parce qu’ell
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e n’est plus une puissance qui pourrait exiger la
paix
, mais chacune des nations qui la composent se voit menacée d’annexion
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mencer par les unir. Et si nous voulons sauver la
paix
, ou plutôt faire la paix, il nous faut commencer par faire l’Europe,
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i nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la
paix
, il nous faut commencer par faire l’Europe, c’est-à-dire cette troisi
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, de faire réfléchir l’agresseur, et de sauver la
paix
du monde. Sur quoi j’imagine bien que personne n’osera dire (même pas
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on et que pourra-t-on faire en temps utile ? » La
paix
, l’Europe unie, d’accord, c’est un beau rêve. En attendant, voici le
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d’idéologies à ceux qui signent des contrats de «
paix
de travail ». (Il n’est pas interdit de se former des jugements plus
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dimensions de notre État et les conditions de sa
paix
. Se rendre invisible : passer inaperçu. — Il y a ceux qui ne laisse