1 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
1 r. Nous ne savions plus distinguer le mal dans la paix et la prospérité. Nous avons mérité qu’Hitler nous le fasse voir, et
2 diabolique, c’est d’appeler cela « consolider la paix  » ou « fonder le nouvel ordre ». Ce n’est pas d’annexer la Tchécoslov
2 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
3 rs du droit, ou « sorciers », nous rétablirons la paix et la prospérité. Nous sommes encore en pleine mentalité magique. Com
4 ur de traduction. Le texte véritable ne dit pas «  Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté » mais « Paix sur la terre,
5 sur la terre aux hommes de bonne volonté » mais «  Paix sur la terre, et bonne volonté (de Dieu) envers les hommes ». Ce qui
6 e ne parle pas des héros de la guerre, mais de la paix . 6. Est-ce un si grand bien ? Pour le grand nombre, oui, probablemen
3 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
7 grande affaire de notre civilisation en temps de paix , — la religion de ceux qui n’en voulaient plus. Son empire s’est éten
8 monde où l’hitlérisme est justifié. L’ordre et la paix n’ont jamais existé qu’en vertu d’un effort constant contre ce genre-
9 t opprimée. Il la croit, par fatigue, par gain de paix , ou par idéalisme mal placé. Tous ces facteurs ont créé dans nos mœur
4 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
10 vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pardon, et baignons un regard aux étendues de pureté arde