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. Cela éclate dans sa politique : elle affirme la
Paix
, le Droit, l’Humanité ; elle ne respecte en fait que les opportuniste
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’espoirs, favorisé plus de vertu, mieux assuré la
paix
du monde et les rapports normaux entre les hommes ? Croit-on vraiment
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mpossible, là où l’homme naturel s’abandonnait en
paix
à ses déterminations physiques et morales. Doit-on conclure au refus
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incre, et que c’est de réduire l’adversaire à une
paix
avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer bénéfice p
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éduire l’adversaire à une paix avantageuse, à une
paix
dont ils s’imaginent pouvoir tirer bénéfice pour la foi, — bien plus,
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— bien plus, que les chrétiens considèrent cette
paix
comme un bien supérieur à la lutte, qu’ils l’organisent, la sanctionn
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olutionnaire L’époque où nous vivons cherche la
paix
comme d’autres ont cherché la puissance, ou l’ordre, ou l’aventure, o
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grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La
paix
n’est pas une occupation, ni un but. Du moins pour notre civilisation
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rs de déshumaniser les hommes. Elles cherchent la
paix
par la stérilisation. — D’ailleurs, elles échouent. Les conflits qui
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ifférences. Ils se flattaient ainsi d’établir une
paix
définitive. Ce qui leur permettait de croire possible une telle égali
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à en répondre. Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une
paix
véritable ne saurait résulter de l’affaiblissement systématique des a
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affaiblissement systématique des antagonismes. La
paix
, l’ordre, la solidarité que nous voulons se fonderont sur cette affir
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peut bien dire que la doctrine est instrument de
paix
, au moins autant que de rénovation : à condition qu’on ne l’oublie pa
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ord d’assurer le bon fonctionnement de l’État, la
paix
publique, la grandeur morale de la nation et le libre déploiement de
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ue, était une illusion entretenue par l’apparente
paix
sociale, mais que l’échéance ne pouvait être indéfiniment repoussée,