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e ces diversités. Vouloir les ignorer par gain de
paix
, les passer sous silence ou les minimiser, ce serait perdre d’avance
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pas encore14. Il ne pouvait mettre en question la
paix
romaine. L’Occident n’est pas né comme on nous dit que naissent les g
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ons : n’est-ce pas au nom de la liberté, ou de la
paix
, et comme en louvoyant avec ces noms puissants, que les pires tyranni
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ncilier la souveraineté absolue des nations et la
paix
, ou inversement l’interdépendance des nations et leur autonomie ? L’
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nullité politique » de la permission de vivre en
paix
, de « végéter », précise Hegel, dans le bonheur et sans histoire. Nou
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essentielles entre la souveraineté absolue et la
paix
, entre l’État-nation et la liberté, entre le sacré national et la foi
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mporains, et des meilleurs ? Elles menacent notre
paix
, et plus encore l’existence même de l’Occident. Et pourtant l’Occiden
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ecettes de bonheur, de télépathie, d’érotisme, de
paix
de l’âme ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga « scientifique
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uvent puisque l’homme n’est pas bon, mais vers la
paix
quand l’accord s’établit par l’échange des vertus et des vices dans l
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plus vastes et spectaculaires, au détriment de la
paix
des Asiatiques et du prestige moral de l’Occident. Ainsi, durant des
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rêve des sages de l’Est conduit-il au salut, à la
paix
véritable de l’âme ? C’est la question de la preuve qui se pose ici.
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uête. Ulysse a rejoint son Ithaque. Il a gagné sa
paix
. Mais un dernier combat l’oppose au parti plus nombreux de ceux qui l