1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 êque de l’Église morave, en 1645 ; l’Essai sur la paix présente et future de l’Europe de William Penn, quaker anglais et fon
2 in, en 1692 ; à quoi s’ajouteront deux Projets de paix perpétuelle, celui de l’abbé de Saint-Pierre en 1712 et celui d’Emman
3 nnemi commun ou contre les tyrans, ni le désir de paix , ni même la recherche de la prospérité n’ont jamais convaincu nos res
4 tégrant dans une unique organisation fédérale. La paix européenne est la clé de voûte de la paix du monde. En effet, dans l’
5 ale. La paix européenne est la clé de voûte de la paix du monde. En effet, dans l’espace d’une seule génération, l’Europe a
6 a politique, l’économique et la culturelle : — la paix par la fédération, jugulant l’anarchie des États souverains ; — la pr
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
7 te pour garantir leur concurrence féconde dans la paix . Je ne vois pas d’autre réponse imaginable au défi que l’Histoire nou
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
8 t capable de déclarer la guerre ou de conclure la paix comme il l’entend — qu’on se rappelle l’affaire de Suez en 1956 —, d’
9 la société politique ; le reste — la justice, la paix , la liberté — étant manière de parler plus ou moins nobles, ou pure e