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n’ont pas fait plus de morts en dix ans que notre
paix
ne fait de vivants en quelques mois. Quoi qu’il puisse advenir par la
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faits — alors qu’ils en débattent et fondent leur
paix
sur un commun programme de recherches. Ou bien l’un des partis poursu
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e communauté, la terreur permanente au sein de la
paix
des lâches : beaux résultats ! Qui était donc le gérant ? La ré
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nflits qu’il prépare sous le nom de défense de la
Paix
. Et ce seront les deux guerres mondiales. Après quoi, faute de guerre
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essaisir par égoïsme, peur des risques ou gain de
paix
, désormais peut être perdue d’un seul coup, sans retour, pour tous et
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es, deux hommes d’État, deux « responsables de la
Paix
du Monde » en train de chercher les moyens de prévenir une catastroph
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ui les retient, en somme ? Les peuples veulent la
paix
. Mais les appareils politiques, c’est-à-dire l’administration à Washi
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ir le risque de perdre la face, en cédant pour la
paix
devant une loi supérieure à leur souveraineté absolue : ils y perdrai
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ux nouveau, Futilité urgente. Ces fées donnent la
paix
du cœur dans la souffrance, inventent mille tours sentimentaux insoup
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ssibilités constructrices pendant les périodes de
paix
. On peut penser que l’unilatéralité, la spécialisation de notre effor
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on peut prévoir à chances égales la guerre et la
paix
; soit que le défi de nos passions se révèle trop puissant et que not
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le ridicule, ainsi la croisière-croisade pour la
Paix
, qu’il entreprendra en 1915 vers l’Europe. Sur le paquebot qu’il a fr
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es multipliées, lesquelles tueront l’humus, et la
paix
des campagnes, etc. ? Comment prévoir les deux guerres mondiales, et
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: il s’agit d’une ultime tentative pour sauver la
paix
. Hitler ouvre l’album où il fait coller chaque jour les articles paru
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egarde des eaux et des forêts, le progrès vers la
paix
entre les continents, la naissance d’un nouvel esprit communautaire…
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, et surtout, de « décerner la guerre ou faire la
paix
». Elle n’est donc limitée par rien au monde, si ce n’est la « volont
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andit et quelque nouveauté s’introduit, chance de
paix
. L’anti-Bodin, ou que « l’État c’est nous ! » L’alternative au
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lourde des pires dangers pour nos libertés et la
paix
, appelle des mesures conservatoires de l’humain et de la nature, cell
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colonisatrice, impérialiste par définition. La
paix
appelle les régions, comme la guerre les États-nations Le moteur d
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la liberté, on veut les régions, c’est-à-dire la
paix
. Car il est clair que les régions autonomes et fédérées rendraient im
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a région. En second lieu, quant au maintien de la
paix
, la taille réduite entraîne un avantage certain. Car un petit État-na
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e qui compte, c’est d’accroître les chances de la
paix
en même temps que les possibilités de participation civique : or, les
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a santé d’un corps vivant, et désignent l’état de
paix
entre communautés humaines. L’autogestion peut aussi se définir par c
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i contestent ses dogmes, séparatistes en temps de
paix
, pacifistes en temps de guerre. La réduction proprement insensée de r
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né Girard, pour lequel au contraire « l’ordre, la
paix
et la fécondité reposent sur les écarts différentiels : ce n’est pas
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Suisses ont de moins que les Belges à jouir de la
paix
dans vingt-six cantons souverains (dont trois bilingues et un quadril
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ée, et pour une nouvelle société, condition de la
paix
mondiale ? Commencer l’action en faveur d’un civisme européen par l’é
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dernières chances à la fois de l’Europe et de la
paix
du monde, je ne sais rien de plus urgent que de leur faire voir qu’il
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ui objectent, au nom de leur conscience, ou de la
paix
menacée, ou de la justice, on ne se contente pas de les jeter en pris
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. Le fédéralisme est complexe et souple, comme la
paix
, comme la vie. » Cette antithèse domine le siècle. Elle est son vérit
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lus que vous ne ferez de l’armée un instrument de
paix
en confiant le haut commandement et les postes clés, comme l’arme nuc
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ement, l’Europe perdrait ses dernières chances de
paix
, d’autonomie, et de survie de son identité, de son génie. — Comment
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ommunauté, ni donc de régions, ni d’Europe, ni de
paix
, ni de futur à vues humaines. J’ai voulu lire l’avenir inscrit en nou