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t dans sa personne l’idée d’unité, d’harmonie, de
paix
religieuse et universelle. Il maintenait l’idée de droit, de légitimi
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e pour garantir leur concurrence féconde, dans la
paix
. Je ne vois pas d’autre réponse imaginable au défi que l’histoire nou
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souveraine peut déclarer la guerre et conclure la
paix
quand il le veut. Or, la France et l’Angleterre, qui avaient jugé bon
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par l’État, qui ait été rapportée une fois que la
paix
est revenue. Ainsi, le mécanisme de l’État-nation conduit non seuleme
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are que l’on rétablisse ces libertés, une fois la
paix
revenue. 20 mai 1977 Au moment où Napoléon prend le pouvoir, sous son
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0, lors de la signature d’une série de traités de
paix
, appelés les « traités de banlieue ». Ces traités de banlieue ont été
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s’opposaient, ils le voyaient bien, à leur propre
paix
et à leurs propres idéaux, chrétiens, d’humanité, de genre humain. On
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force, et en même temps comme la condition de la
paix
. On le retrouve dans le langage proverbial de la politique courante e
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is que unité veut dire force et qu’elle veut dire
paix
. L’invocation traditionnelle, « restez unis, vivez dans l’union », ve
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ans l’union », veut dire en même temps « vivez en
paix
». 10 juin 1977 Au lendemain de la guerre, on espérait que le Parleme
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dération est condamnée à la neutralité, donc à la
paix
ou à l’éclatement. L’État-nation, au contraire, du fait de la loi for
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rer à gagner la guerre ou se préparer à animer la
paix
. Uniformiser au maximum tout ce qui peut être uniformisé à l’intérieu
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i on déclare la guerre, que c’est par amour de la
paix
, hélas unilatéral. Ou quand on refuse une augmentation de salaire dan
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ra pas être réalisée. On ne pourra pas établir la
paix
tant qu’il y aura des États-nations qui se prétendent souverains, ind