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endormi. En passant par la Freyung, nous vîmes un
palais
aux fenêtres illuminées. Des autos attendaient devant le porche grand
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ler. Par le grand escalier, au fond de la cour du
palais
, descendaient les invités du bal. Des femmes sans chapeau couraient v
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Une « tasse de thé » au
Palais
C… Il fait fausse route, celui qui considère la chose mondaine aut
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ustes sèchent, vers une espèce de grande villa ou
palais
baroque assez décrépit, un décor en pierre brune peu solide, rongé de
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teur. Silencieuse, solennelle de nudité, entre le
Palais
du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège
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la Couronne de saint Étienne. Auprès du porche du
Palais
, ils n’étaient guère qu’une centaine de curieux, et quelques gardes.
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tre, durant une demi-heure, saluées à l’entrée du
Palais
par les gardes présentant les armes. À ce salut, les quelques députés
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levés. On se signe. Et voici venir à pied de son
palais
proche, tout seul, un archiduc. On salue profondément, en silence (cl
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c’est la résidence du Prince Primat. Au-dessus du
palais
de l’archevêché, sur une colline que le Danube contourne, la Basiliqu
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à la recherche de Gérard par les rues noires aux
palais
vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre r
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nise, sous le brouillard qui cachait le front des
palais
, une nuit d’hiver, je chantonnais la Barcarolle en descendant le Gran