1 s petites cités du centre. Je vois côte à côte un palais de la Renaissance flamande, un hôtel du xviiie siècle, un gratte-cie

2 ion actuelle. La déprimante architecture de notre Palais fédéral — où je corrige ces notes de voyage, ayant fini le travail de

3 rsonne n’a crié au fou. ⁂ R. vient d’être reçu au palais de Venise et me raconte sa visite. Il pénètre dans le fameux cabinet

4 Plus loin la ville, la longue façade verdâtre du Palais fédéral sur une falaise. À l’horizon, la barrière sombre du Jura, et

5 taient point exactement celles qu’on eut alors au Palais fédéral pour favoriser mon voyage. Mais le fait est qu’elles jouèrent

6 s tropicales. « Je voulais une cabane et c’est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier s

7 SDN le jour de sa liquidation publique, dans son palais sans patine, sans fantômes. Pourtant cette grande figure voûtée qui l

8 ous laissons à la Suisse minuscule un gigantesque palais vide, pour nous ruer vers la grande Amérique où l’on ne trouve pas un