1 nt s’élèvent devant vous les façades blanches des palais . À gauche, un grand rectangle assez sévère, trois étages, double balc

2 t toujours un peu de la maison forte paysanne, du palais Renaissance et de la folie baroque. Mais les Salis eurent des rivaux

3 e unique d’architecture, commun aux fermes et aux palais , qui n’a rien de composite et ne ressemble à rien, et qui domine tout

4 ’administration, d’un uniforme ennui scolaire. Le Palais fédéral, siège du gouvernement et des Chambres à Berne, symbolise, av

5 de Salis. Pierre-Jean Jouve a situé dans ce même palais un récit d’une noire beauté, intitulé Dans les années profondes. 27.

6 gés dans le même bâtiment verdâtre qu’on nomme le Palais fédéral. C’est aussi dans ce palais, ou Curia confœderationis helveti

7 u’on nomme le Palais fédéral. C’est aussi dans ce palais , ou Curia confœderationis helveticæ selon l’inscription qui surmonte

8 s le droit d’utiliser les voitures officielles du Palais fédéral pour plus de 3000 km par an. Et l’on peut encore voir à midi

9 onter dans l’autobus bondé qui s’arrête devant le Palais fédéral, à côté du marché aux légumes. Ils n’ont pas de directeurs ni

10 il prend un pavé et le jette dans une fenêtre du Palais fédéral, pour forcer l’attention publique. En 1941, il distribue la f

11 ue ce délégué dispose à Berne d’un bureau dans le Palais fédéral même… Nous avons depuis longtemps la certitude que l’un des é

12 ie des tapis de Smyrne, possédé successivement un palais et un yacht en Égypte, un château en Angleterre, une grande maison en

13 baroques. Les façades blanches de l’Engadine. Les palais rustiques de Soglio. La rade de Genève illuminée aux soirs d’été. Les