1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 ation indivisible de l’homme libre mais relié, le paradoxe vivant et vivifiant de l’un pour tous, tous pour un ! Ainsi, dès l’or
2 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
2 . Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des paradoxes vivants, et cependant nous savons bien que leur libération et leur se
3 effet, la personne chrétienne était une sorte de paradoxe  : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, d
4 aque homme. Notez bien que nous retrouvons ici le paradoxe essentiel de la personne : à la fois libre et engagée, distincte et r
5 ctrine peut-il comprendre mieux que tout autre le paradoxe politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commu
6 s autres, qu’ils n’ont pas encore bien compris le paradoxe vivant que représente, en chacun de nous, la personne : l’homme qui s
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
7 il a tout sacrifié au salut de la communauté. Le paradoxe central d’une pièce sur Nicolas, sa tension créatrice, réside donc da
8 spectaculaire de cette donnée propose un nouveau paradoxe  : je dispose d’une scène de 30 mètres de largeur, qui ne peut être oc
4 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
9 l ne lui déplait pas de se faire le champion d’un paradoxe . Tristan aime sa passion, explique-t-il. Il n’aime pas Iseut de chari
5 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
10 difiée depuis lors. Dès les premiers instants, le paradoxe technique de ce drame m’était clairement apparu : il s’agissait de pe
6 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
11 en a besoin plus que nul autre. Sa devise est un paradoxe qu’il n’a pas toujours bien compris. Elle exclut en principe toute do