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n écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le
paradoxe
et l’injustice : c’est qu’on attend, qu’on exige même de ces gens-là
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oyaume du Silence absolu ; et pourtant — voici le
paradoxe
—, nous voyons bien que les grands mystiques, et après eux les romant
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ssi que s’y révèle une maladie de la personne. Le
paradoxe
de l’expression d’un Indicible est tellement essentiel au romantisme
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on, précisément, serait demeurée indifférente. Ce
paradoxe
couvre un sophisme. Car les journaux ne sauraient décrire l’opinion s
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l’esprit au xxe siècle, se résument donc dans le
paradoxe
suivant : ceux qui laissent la culture en liberté, à l’Ouest, en font
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e par le pape Jean XXIII. Ce n’est pas le moindre
paradoxe
de sa carrière, pleine de surprises pour ses disciples. Pendant la gu
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fédératif lui-même qui se voit invoqué (non sans
paradoxe
d’ailleurs), pour refuser de se laisser entraîner par des mouvements