1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 n écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le paradoxe et l’injustice : c’est qu’on attend, qu’on exige même de ces gens-là
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
2 oyaume du Silence absolu ; et pourtant — voici le paradoxe —, nous voyons bien que les grands mystiques, et après eux les romant
3 ssi que s’y révèle une maladie de la personne. Le paradoxe de l’expression d’un Indicible est tellement essentiel au romantisme
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
4 on, précisément, serait demeurée indifférente. Ce paradoxe couvre un sophisme. Car les journaux ne sauraient décrire l’opinion s
4 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
5 l’esprit au xxe siècle, se résument donc dans le paradoxe suivant : ceux qui laissent la culture en liberté, à l’Ouest, en font
5 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
6 e par le pape Jean XXIII. Ce n’est pas le moindre paradoxe de sa carrière, pleine de surprises pour ses disciples. Pendant la gu
6 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
7 fédératif lui-même qui se voit invoqué (non sans paradoxe d’ailleurs), pour refuser de se laisser entraîner par des mouvements