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. Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des
paradoxes
vivants, et cependant nous savons bien que leur libération et leur se
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effet, la personne chrétienne était une sorte de
paradoxe
: elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, d
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s Son plan. Notez bien que nous retrouvons ici le
paradoxe
essentiel de la personne : à la fois libre et engagée, distincte et r
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ctrine peut-il comprendre mieux que tout autre le
paradoxe
politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commu
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t les autres, qu’ils n’ont encore rien compris au
paradoxe
vivant que représente en chacun de nous, la personne : l’homme qui sa