1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 . Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des paradoxes vivants, et cependant nous savons bien que leur libération et leur se
2 effet, la personne chrétienne était une sorte de paradoxe  : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, d
3 s Son plan. Notez bien que nous retrouvons ici le paradoxe essentiel de la personne : à la fois libre et engagée, distincte et r
4 ctrine peut-il comprendre mieux que tout autre le paradoxe politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commu
5 t les autres, qu’ils n’ont encore rien compris au paradoxe vivant que représente en chacun de nous, la personne : l’homme qui sa
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
6 en a besoin plus que nul autre. Sa devise est un paradoxe qu’il n’a pas toujours bien compris. Elle exclut en principe toute do