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fascisme ou la dictature stalinienne. Tel est le
paradoxe
malheureux de la démocratie laïque. L’individu au nom duquel légiféra
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on, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un
paradoxe
; il est perdu lorsqu’il se croit sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sa
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sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce
paradoxe
le rend humain, le fait humain : car si l’homme peut se voir perdu, c
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u ; le croyant seul, véritablement homme. Dans ce
paradoxe
essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une politique qui mérite l
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Sur la devise du Taciturne Faisons-nous donc du
paradoxe
? Non : Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus
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c du paradoxe ? Non : Dieu nous est paradoxal. Le
paradoxe
est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la pr
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Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le
paradoxe
est la marque et la preuve de toute réalité en tant que saisie et véc
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écue, c’est-à-dire assumée par l’homme. Sortir du
paradoxe
pour s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste, romaine, ou
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ces. Mais la devise du Taciturne exprime, par son
paradoxe
, une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de
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at, une fois tous les risques endossés. Voilà son
paradoxe
et l’humour de sa lutte. L’issue de la bataille, il peut bien la prév
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confond pas avec l’enjeu de son salut. Tel est le
paradoxe
, qui remonte au cœur même du christianisme, si le christianisme est l
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Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le
paradoxe
fondamental de toute « existence » se concrétise dans une « nécessité
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ans parti pris. Et voilà qui paraît à beaucoup un
paradoxe
bien irritant. Le parti pris que nous affirmons est bien connu : il n
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lle en fait d’ailleurs immédiatement ressortir le
paradoxe
. En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. L
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de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce
paradoxe
est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourgeoise. On pou
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. Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des
paradoxes
vivants, et cependant nous savons bien que leur libération et leur se
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effet, la personne chrétienne était une sorte de
paradoxe
: elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, d
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s Son plan. Notez bien que nous retrouvons ici le
paradoxe
essentiel de la personne : à la fois libre et engagée, distincte et r
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ctrine peut-il comprendre mieux que tout autre le
paradoxe
politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commu