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e Newman sur Gerard Manley Hopkins. Mais il ne me
paraît
pas que le problème dans son ensemble ait été clairement posé ou étud
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n sport public et diurne. Cette petite nouvelle,
parue
dans le respectable New York Times au mois d’avril 1946, exprime avec
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de : elles en peignent le négatif. L’Américain me
paraît
peu doué pour les raffinements spirituels, peu capable de concentrati
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r donneraient matière à tout un livre. Mais il me
paraît
vain de l’écrire, car l’Amérique est en pleine transition, à cet égar
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istes. Quant à leurs femmes et amies, elles m’ont
paru
cultiver le genre des nihilistes russes d’antan. La plupart sont trot
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u ensemble, j’éprouve une sorte de tristesse. Ils
paraissent
encore moins intégrés que leurs confrères européens à la vie de leur
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ce n’est pas un reproche aussi violent qu’il vous
paraît
. Je veux dire que l’on sent chez vous un tel souci de la forme durabl
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l. Le mot de transcendance les rend malades, leur
paraît
méchamment subversif, « réactionnaire », et tout est dit… 25 janvier
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ques fragments de mon Journal d’Allemagne ayant
paru
dans une revue de New York, Upton Sinclair du fond de la Californie a
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s de Madison Avenue. La salle étroite et profonde
paraît
vide. Il doit être environ neuf heures et demie. J’hésite sur le seui
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Perse. — Lorsqu’il est arrivé en Amérique, il n’a
paru
de lui qu’une seule photo, encore était-elle prise de dos. (Mais ce t
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se donnent pour en sortir, un jour ou l’autre, me
paraissent
hypocrites ou faciles à réduire. « Gagner sa vie », dit-on, mais en v
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Je vais vous lire mon œuvre posthume ») et qui me
paraît
ce qu’il a fait de plus beau. Tard dans la nuit je me retire épuisé (
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l y en a toujours trop. Cependant notre sort vous
paraissait
enviable, à juste titre. Les pires tourments de l’esprit et du cœur o
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res tourments de l’esprit et du cœur ont toujours
paru
préférables à la torture physique, ou même à sa menace. Autant dire q
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du livre intitulé La Part du diable , qui devait
paraître
à New York à la fin de 1942, dans une première version. La seconde ve
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sance d’une fédération européenne. Mais ce qui me
paraît
important et encourageant tout à la fois, c’est qu’on assiste au même
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pour compléter ce schéma trop rapide mais qui me
paraît
indispensable. Il ne faut pas penser que la personne soit un moyen te
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suisse. Et je vais les choisir parmi ceux qui me
paraissent
applicables, immédiatement, dans l’état présent de l’Europe. Premier
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ien de tout cela n’est inutile. Et tout cela, qui
paraît
si dispersé, si peu efficace souvent, forme peu à peu des structures
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nsister sur deux traits de cette culture qui leur
paraissent
foncièrement déplaisants : la dictature de l’argent, et celle du gran
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à une enquête] (novembre 1947)e Le problème me
paraît
capital, mais son énoncé sur plus d’un point critiquable ou obscur. J
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qu’on m’invite aujourd’hui à développer ce qui me
paraît
une évidence, je saisirai cette occasion pour formuler quelques obser
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ut nos divisions. Aujourd’hui les deux Grands ont
paru
dans leur force : tout se passe en dehors de nous, tout nous menace e
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r le sens communautaire. En dehors d’eux rien n’a
paru
depuis la guerre qu’ils avaient eux-mêmes déclenchée. Et nous savons
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le beau titre de son premier roman qui venait de
paraître
— écrit entre 19 et 22 ans — et elle me dit merci, bien sérieusement
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ncier français, quand ils discutent des idées, me
paraissent
être, en règle générale, tout juste aussi intelligents que leur auteu
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x et de raison qui doivent nous étonner quand ils
paraissent
, phénomènes hautement improbables, très rarement observés sur la plan
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ai cru remarquer à ce propos que le peuple suisse
paraît
de plus en plus enclin à respecter le velours gris et dru des seconde
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vue d’Amérique, et j’imagine aussi vue de Russie,
paraît
plus petite que nature : physiquement resserrée entre deux grands emp
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t de nous laisser la guerre d’Hitler. Ces chances
paraissent
très faibles en vérité. L’Europe a dominé le monde pendant des siècle
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x directions opposées. Je le répète, nos chances
paraissent
très faibles dans l’ensemble, malgré les illusions de santé et de dur
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it le monde ? Qu’y perdraient nos enfants ? Alors
paraît
comme dénudée par ces questions une réponse évidente et simple. Elle
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e me suis livré en débutant sont exactes, il peut
paraître
assez étrange de parler après cela d’une vocation de l’Europe. Pour e
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e est accomplie. Or, notre vocation européenne me
paraît
encore loin d’être accomplie… Mais cette raison irrationnelle, de cro
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par Dieu, sa Fin, l’existence de l’esprit, etc.,
paraît
close pour longtemps. C’est enfin un fait que les trois grandes confe
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e les meilleurs aujourd’hui, hors des Églises, me
paraissent
avides d’entendre. La « folie de la Croix » non la sagesse bourgeoise
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ajoute : « toute vocation est sans précédent, et
paraît
donc ‟invraisemblable” à celui qui la reçoit. Exemple : Abraham ». d
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Berne. Lors de l’entrée de Hitler à Paris, je fis
paraître
dans la Gazette de Lausanne un article qui me valut d’être condamné
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ieu ! r. « Rencontre avec Denis de Rougemont »,
Paru
, Paris, janvier 1948, p. 10-15. Propos recueillis par André Bourin