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Qu’en est-il de notre équipement culturel ? Il me
paraît
que la structure fédéraliste du pays et l’autonomie dans son sein non
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mieux partagées en Europe, il en est deux qui me
paraissent
les plus propres à motiver chez l’homme soucieux de la chose publique
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pour compléter ce schéma trop rapide, mais qui me
paraît
indispensable, il ne faut pas penser que la personne soit un moyen te
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eut dégager après coup. On retiendra ici ceux qui
paraissent
les plus faciles à transposer dans l’actualité immédiate, à l’échelle
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Rien de tout cela n’est inutile. Et tout cela qui
paraît
si dispersé, si peu efficace souvent, forme peu à peu des structures
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t elles semblent ou deviennent irréductibles. Il
paraît
difficile d’espérer que les gouvernements puissent jamais réaliser un
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ourrait recourir à un précédent historique qui me
paraît
tout à fait indiqué en la matière : La Constitution fédérale de la Su
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Voici une liste, non exhaustive, des facteurs qui
paraissent
aujourd’hui susceptibles de jouer dans le sens d’une solution fédéral
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mais c’est que les partisans officiels de l’union
paraissent
encore bien peu hardis. Ils donnent l’impression de mal voir ce qu’il
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ut. Cette « relance européenne » dans les esprits
paraît
la seule immédiatement réalisable. Elle peut être la plus efficace, à
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t de ce Tristan qu’il porte en soi. Mais aussitôt
paraît
une anxiété dans l’entourage : l’amant comblé va-t-il encore aimer Is
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Avec ces quelques précisions de doctrine — qui
paraîtraient
bien théoriques et bien abstraites à un public français, mais je parl
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dimensions à peu près analogues. (Le contraire me
paraît
probable.) Mais cet apport ne fut jamais typique et spécifique d’une
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r un concept aussi néfaste qu’invétéré, et qui me
paraît
exemplairement incompatible avec la réalité fédéraliste. On nous répè
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moments à cette introduction plus générale. S’il
paraît
opportun d’entreprendre aujourd’hui, ou plutôt de poursuivre et d’éla
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omptant de 3 à 50 millions d’habitants ? Aucun ne
paraît
en mesure de se relever de ses ruines sans aide extérieure ; ni d’ass
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plan économique par le Marché commun ? Voilà qui
paraît
difficile. En effet, le traité de Rome n’évoque aucune solution de ce
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isons générales, d’abord. La solution fédéraliste
paraît
la mieux susceptible de répondre à la fois aux besoins nouveaux d’uni
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toires, mais qui sont là, incontestablement. Elle
paraît
aussi la plus propre à rallier ou à faire converger un jour ou l’autr
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é The Federalist (dont une traduction française a
paru
en 1957). En France, c’est l’œuvre posthume de Proudhon, Du Principe
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celle, dans son Précis du droit des gens, tome I,
paru
en 1932, généralise la méthode fédéraliste et l’étend à toutes les st
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ntiunitaire, authentiquement fédéraliste, qui lui
paraît
destiné à assurer un jour la paix en Europe. « Si cet idéal de l’aven
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une verve logique ou polémique qui risquerait de
paraître
peu réaliste, voire peu suisse. Mais je sens deux autres motifs à cet
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exigeons pas. Tout le débat sur l’idée européenne
paraît
tourner chez nous autour de la défense des intérêts particuliers de l
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ou le devenir de mieux en mieux, voilà ce qui me
paraît
digne de retenir l’attention des visiteurs de la section « Les arts d
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Nous étions préparés pour quelque chose qui nous
paraissait
à la fois démesuré, inévitable et sans raison. Tout cela faisait part
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gine, se dressait la paroi des Alpes. La descente
paraît
au novice plus facile que la montée, mais c’est aussi l’épreuve la pl
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des gamelles et des casques fixés aux ceinturons,
parut
cesser d’être un progrès de but en but, devint une sorte de durée sus
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ps et la matière et toute la création, désormais,
paraissent
« dignes d’être contemplés », comme le dira Kepler, bien plus, d’être
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lle, qu’un conflit armé entre deux de nos nations
paraît
devenu impraticable. Le charbon et l’acier, l’énergie électrique, les
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science d’une misère relative, qui autrefois leur
paraissait
normale ou en tout cas inévitable, dans l’ignorance où ils étaient de
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rt, il n’est peut-être pas d’activité humaine qui
paraisse
moins métaphysique en soi que la technique. Mais en même temps, il n’
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et indivisible. Une bonne douzaine d’ouvrages ont
paru
en France depuis le début de l’année sur la région ; le dernier s’int
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afont, qui l’utilise dans Révolution régionaliste
parue
ou printemps de 1967. Je ne serais pas étonné que d’autres fédéralist
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proposer ici, ce sont quelques conditions qui me
paraissent
requises pour qu’il y ait une vie intellectuelle, un climat attirant,
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, importé des États-Unis. Ce qu’a dit M. Mach m’a
paru
un peu curieux. Il a parlé de mon optimisme béat. Je ne vois pas du t
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présente de l’État-nation, le régime à prescrire
paraît
facile à formuler : Parce qu’ils sont trop petits, les États-nations
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ons pas : le processus sera très long, et il nous
paraîtra
nécessairement très lent, au jour le jour. Nous n’en sommes encore, a
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e ! — sont en train d’élaborer une théorie qui me
paraît
mieux adaptée à notre société industrielle et mobile. Mais le fédéral
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t François Mauriac, dans le Figaro littéraire qui
parut
le jour même où je prononçai ma conférence. 30. Cf. Remarques de M.
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nalyser l’amoindrit. Une passion « inexplicable »
paraît
plus forte qu’un amour justifié par de bonnes raisons. Or il faudrait
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à la fois, de tout saccager lorsque ce qu’il fait
paraît
trop éloigné de ce qu’il voudrait faire. De même le mariage exige que
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roi, dictateur ou État républicain. Or ce pouvoir
paraît
mieux assuré, de nos jours, par les petits États que par les ex-puiss
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peut y lire, en effet, un article qui avait déjà
paru
dans la revue Esprit et qui constitue, nous fait remarquer M. de Ro
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la seule définition de la personne qui ait jamais
paru
dans ces revues personnalistes ». Cet article, « Définition de la per
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sordre établi au nom d’un ordre plus réel. Ce qui
paraît
être, pour beaucoup de jeunes contestataires, une conception inaccept
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impressions sur le fédéralisme canadien, il nous
paraissait
nécessaire de lui demander comment il était passé de sa définition de
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égions économiques, politiques, culturelles. Cela
paraît
certes compliqué, mais le problème se résoudrait facilement si on les
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autre — Rhône ou Rhin, Danube ou Adige —, elle me
paraît
illustrative d’une authenticité européenne. VII Car l’Europe, c
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les chèvres, et trois touristes silencieux… Tout
paraît
naturel mais à tel point que parfois une arrière-pensée se meut dans
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nition nouvelle du fédéralisme (1969)t En 1863
paraissait
le dernier grand ouvrage de Proudhon, Du Principe fédératif, où l’on
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s lors, les centaines d’études et de gros volumes
parus
sur le sujet auraient dû suffire, semble-t-il, à clarifier un terme q
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ulte d’un couple d’exigences contradictoires, qui
paraissent
exclusives l’une de l’autre quoique indispensables l’une à l’autre :
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) et quels sont les aspects de sa pensée qui vous
paraissent
les plus actuels ? 2. Gide fut de son temps un grand contestateur ; v