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dans l’allure de leur progrès. Les humanités nous
paraissaient
devoir transmettre aux générations cette notion d’un équilibre propre
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tation qui le guette et à laquelle tout humanisme
paraît
enclin : celle de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé
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ie, mais auquel cette vie même, en fin de compte,
paraît
absurde, parce qu’il refuse de lui trouver un sens dans la mort. L’ho
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omme un homme devrait vivre… — Être un homme nous
paraît
la seule entreprise légitime… — Nous pensions vie intérieure, quand i
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réforme à une préalable révolution économique qui
paraît
de plus en plus impossible, car elle équivaudrait à une transformatio
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a périphérie des vérités religieuses, là où elles
paraissent
s’opposer, au lieu de nous aider à les mieux pénétrer, à les approfon
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r en définitive la conversion de son héroïne nous
paraît
être à tel point la seule solution possible qu’elle n’est plus du tou
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plus que je ne peux supporter. La vie humaine me
paraît
intolérable. — Elle l’est presque, mais pas tout à fait. Il faut l’ac
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hristianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autres
paraissent
petits à côté de lui. La question essentielle pour Kierkegaard était
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proprement littéraire et descriptive, elles nous
paraissent
intéressantes par tout ce qu’elles révèlent de la mentalité des écriv
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lles inspirent. Ce thème éthique et philosophique
paraît
bien être le plus fécond et le plus adéquat à la nature alpestre. Il
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e sans partage et sans failles. Quelques articles
parus
dans des revues françaises ou suisses nous avaient appris à connaître
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e tout à fait insolite, et qui dans certains cas,
paraîtra
presque scandaleuse à maints lecteurs. Kagawa ne « décolle » jamais d
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a naguère, dont la « saine rudesse » m’a toujours
paru
plus rude que saine. Je ne pense pas qu’il faille opposer aux suggest
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lle existe, n’a pas changé de nature, et, si elle
paraissait
autrefois plus simple, c’est qu’elle était peut-être plus chaste. Au
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vue de Genève » — c’est-à-dire protestant — nous
paraît
avoir doué ceux qui le professèrent (en dépit de certain défaut de sy
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tive sévérité. Et dès lors, c’est cela qu’il nous
paraît
utile et nécessaire, aujourd’hui, de confesser. Aussi bien, la force
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généralité, de son insistance… Et de ce fait qui
paraît
bien la confirmer : le dessèchement distingué de notre art. Toute for
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simple fait qu’une équivoque si grave subsiste et
paraisse
avoir été cultivée par Goethe, ne prouve-t-il pas suffisamment l’inau
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idences, et où la volonté de sobriété spirituelle
paraît
avoir produit chez le poète une sorte de sécheresse religieuse. Ce qu
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nt les valeurs que le « christianisme » de Goethe
paraît
avoir négligées ou niées : le scandale divin, le péché radical. Mais
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tification de la pensée. Une telle évolution peut
paraître
favorable à la pensée chrétienne. La pensée protestante, en particuli
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r lesquels la crise est dans les institutions. Il
paraît
supposer une rénovation intérieure, celle précisément que postule le
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pression de la personne humaine. Sa critique nous
paraît
pertinente, mais elle serait plus efficace si on la sentait inspirée
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cause. Je n’insisterais pas, si ces traits ne me
paraissaient
communs à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en France parti
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ît ! » (janvier 1933)p Le lecteur moderne est,
paraît
-il, un homme pressé, beaucoup plus pressé que ne le furent ses ancêtr
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pliquer, avec une passion nouvelle. Nous avons vu
paraître
, il y a quelque dix ans, les premières Explications de notre temps. E
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. » Et l’on pense au titre de cet album de photos
paru
récemment en Allemagne : « Weltgeschichte gefälligst », Histoire du m
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fort simples. J’insiste sur le mot simple, qui me
paraît
caractériser notre siècle. On dit le contraire un peu partout, je le
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toires ! Sur le plan politique tout au moins, ils
paraissent
s’opposer avec une certaine violence, mais par rapport à l’homme, ils
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éon Chestov disait un jour à quelques amis : « Il
paraît
qu’il existe deux théories tout à fait opposées concernant l’origine
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e : aimer son prochain, c’est bien vague, cela me
paraît
assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon
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est l’acte le plus révolutionnaire qui ait jamais
paru
dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du siècle, lu
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hapitre consacré aux valeurs humanitaires, qui me
paraît
renfermer l’essentiel de son livre. Le lecteur se sent pris de vertig
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u désespoir. Un rapprochement avec Kierkegaard me
paraît
s’imposer ici. 49. M. Marcel introduit ici le motif du recueillement
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introduit ici le motif du recueillement, qui lui
paraît
essentiel à toute existence ontologique. J’avoue la plus vive méfianc
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a plus vive méfiance à l’égard de ce terme qui me
paraît
dangereusement lié à certain idéalisme de la « vie intérieure ». Je n
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la Maladie mortelle 50 et le Concept d’angoisse,
parurent
sous divers pseudonymes symboliques. Il voulait signifier par là que
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hristianisme, à Luther, à Calvin. Tous les autres
paraissent
petits à côté de lui. La question essentielle pour Kierkegaard était
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que va-t-on lui sacrifier ? Supposez qu’un homme
paraisse
, et qu’il relève le défi collectiviste. Il soutient que le solitaire
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pas voulu souffrir ». « Dans l’église somptueuse
paraît
le Très Vénérable et Très Noble Premier Prédicateur Général de la Cou
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la Cour, le favori élu par la bonne société ; il
paraît
devant une assemblée choisie d’élus, et prêche avec émotion sur ce te
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isés”, et personne ne rit ! »56. C’est alors que
paraît
le rire de Kierkegaard. Ce n’est pas le rire d’un Molière : Molière f
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sort le Troisième Reich a réservé à ce livre, qui
parut
au moment de l’avènement d’Hitler. Mais je le crois trop franc et tro
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en marge de Nietzsche (mars 1935)v Il vient de
paraître
au Mercure de France un volumineux choix de sentences, aphorismes et
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t le texte véritable d’une œuvre dont les volumes
parus
du vivant de Nietzsche ne seraient guère que le commentaire. Je ne sa
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ne sais ce qu’il faut penser d’une allégation qui
paraît
à première vue aussi exorbitante : je n’ai lu que de courts fragments
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lle qu’adopta Nietzsche dans les écrits qu’il fit
paraître
. On ne saurait trop recommander la lecture de ce recueil aux esprits
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t citer : je me bornerai donc aux passages qui me
paraissent
prêter à un commentaire marginal, crayonné rapidement, à la volée, et
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connu, dont les revues n’hésitèrent pas lorsqu’il
parut
(en 1936) à louer la mesure et la sérieuse information théologique… C
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bitrio, dont une première traduction française va
paraître
, après un peu plus de 400 ans : je le vois au centre du débat occiden
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, — or, cette Parole est Christ lui-même, — il me
paraît
que l’opinion de Luther n’est pas sujette à de sérieuses objections.
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modernes, Nietzsche, aboutit à un dilemme qui me
paraît
correspondre, terme à terme, à celui que Luther et Paul — et l’Évangi
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ine le Retour éternel. Et comme ce Retour éternel
paraît
exclure toute liberté humaine, il se met à prêcher l’amor fati, l’adh
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de force la légitimité des diversités. Ce qui me
paraît
d’une excellente méthode.) Est-il permis d’en appeler aussi au précéd
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n’en a pas le temps… Quant au rôle de Staline, il
paraît
être de profiter de la guerre des autres pour consolider l’autarcie r
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ntir la nécessité des régions, en tant qu’elle me
paraît
lisiblement inscrite dans la problématique de notre temps. Et voilà b
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tinées à ce livre, et dont le ton prophétique eût
paru
plutôt ridicule après coup. Tout le monde aujourd’hui sait ou pourrai
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produit le bien général est toujours terrible, ou
paraît
bizarre lorsque l’on commence trop tôt. Mais je ne vois pas ce qu’il
60
s quelques pages forment la conclusion du livre à
paraître
chez Stock sous le titre L’Avenir est notre affaire . »