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m’a valu deux articles significatifs. Le premier,
paru
dans l’organe officieux du radicalisme français, approuvait sans rése
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dent de la IIe Internationale. Le second article,
paru
dans une feuille communisante de Bruxelles, m’accusait froidement d’ê
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ues-unes de vos lettres sur la bombe atomique ont
paru
dans Le Figaro ? Oui, elles ont causé du scandale dans certains mil
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lle, c’est la standardisation de la pensée qui me
paraît
très dangereuse. De la pensée et des jugements moraux : par la synchr
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pond ici à une lettre ouverte de Virgil Gheorghiu
parue
dans le même numéro, à l’occasion de l’ouverture de la Conférence eur
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et la vitalité de l’ensemble sont en péril. Alors
paraît
le besoin d’union. Les forces de division qui ont miné l’Europe depui
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te hypothèse quelques conditions de succès qui me
paraissent
absolument vitales. Il faudrait notamment exiger que cette unificatio
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ture une et diverse, les conclusions suivantes me
paraissent
en découler : 1. Le Marché commun doit englober toutes les nations qu
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fait plus, mais l’horizon de cet art poétique me
paraît
aussi sec et gris que l’automne abstraitement évoqué par une ramure s
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ptembre 1964)s Le mythe de la tour de Babel me
paraît
l’un des plus vivants, des plus actuels, et aussi des plus angoissant
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’interprétation la plus éclairante de ce mythe me
paraît
avoir été donnée par Dante en son Traité de l’éloquence vulgaire, au
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décrite par Valéry, l’interprétation de Dante me
paraît
valable pour le monde moderne tout entier. Et, à l’intérieur de l’Eur
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ouvement universel de convergence ? La réponse me
paraît
évidente. C’est l’Europe, c’est elle seule, qui a déclenché cette évo
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e séparation, qui est proprement babélique, ne me
paraît
nulle part plus visible et plus facile à observer, hélas, que dans no
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ent entreprise. Mais l’Université, dans nos pays,
paraît
plus florissante que jamais : loin d’être abandonnée, elle attire une
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u principe de cohérence de notre civilisation, me
paraît
absolument spécifique de l’Europe. Seule en effet parmi toutes les gr
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trique Le grand problème que l’Europe seule me
paraît
en mesure de résoudre, parce qu’elle seule l’a posé dans l’histoire,
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e ici, celui de l’Université ? Trois solutions me
paraissent
concevables. a) La première, souvent proposée, consisterait à imposer
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t échoué, et les raisons de ces échecs répétés me
paraissent
assez évidentes. La généralité n’est pas une matière enseignable. El
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lime que j’essaie aujourd’hui d’explorer, elle me
paraît
rendre compte du fait que ce sont les meilleurs spécialistes, c’est-à
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ombre optimum des participants de tels groupes me
paraît
être, à l’expérience de nombreux colloques portant sur des sujets int
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éjà trop grandes universités. L’adjectif petit me
paraît
intimement lié en Europe, non seulement à l’optimum de l’efficacité p
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rsonne ne parlera dans les centaines d’articles à
paraître
ces prochains jours. C’est que Breton, pour toute la haine vigilante
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e variété de styles, de thèmes et de registres me
paraît
ici nécessaire et signifiante. Comme la plupart des écrivains de notr
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it Proust lunaire, distrait et intense à la fois,
paraître
au seuil d’un salon déserté, passé minuit, combien j’aime cet éclat,
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nte catholique. Quand le premier de Hic et Nunc
parut
, Mounier a trouvé que j’y allais un peu fort. Nous avons échangé quel
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embre 1932, la Nouvelle Revue française faisait
paraître
un Cahier de revendications , où s’exprimaient tous les mouvements p
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rapport au territoire des communautés humaines me
paraît
l’une des grandes nouveautés du xxe siècle. Je vois l’homme à la foi
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ne soient pas « sérieux », c’est-à-dire puissent
paraître
« nouveaux », et ne correspondent pas à un poste du budget courant. C
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ttant l’un l’autre en question. Mon premier livre
paru
à Paris s’ouvrait par un chapitre sur « l’engagement du clerc », sa n
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quences. L’unification par le système des régions
paraissait
encore parfaitement utopique il y a un an ou deux, voire jusqu’au mom
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adressait à cela dans la littérature dont il nous
paraissait
tout à fait évident que Paulhan détenait les clefs et les mesures. (M
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ais pas encore vingt ans et je lisais tout ce qui
paraissait
aux deux enseignes du plus sûr prestige, en cette haute époque littér
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au nôtre, tout concourt à nourrir ce paradoxe qui
paraît
bien être la loi constitutive de notre histoire et le ressort de notr
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eut fonder sur elle qu’une union fédérale. Ce qui
paraît
beaucoup plus difficile à expliquer, c’est que rien n’ait encore été
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gruyère, secret des banques, et les arts réduits,
paraît
-il, à celui de ne pas se mouiller. Nous savons que la Suisse, c’est a