1 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
1 réel, l’une dramatique et l’autre statistique, me paraissent également valables. Mais il se peut que la seconde se ramène un beau
2 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
2 ù est votre bien. Et c’est pourquoi les mots vous paraissent simples, évidents et indifférents. Vous admettez que le « beau » temp
3 l’homme. Et désormais, de tous les événements qui paraissent autour de nous, aucun n’importe, sinon celui qui dans le même temps s
3 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
4 st ainsi fait : tout ce qu’il ne comprend pas lui paraît attenter par quelque voie secrète à la sécurité de son état. Mais il
4 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
5 icité de votre boisson ? Bien. L’idée générale me paraît simple. On incite le lecteur à penser : si Mr. X., homme distingué, b
6 décorations. X. Bien entendu, ces portraits ont paru pendant la guerre ? L’agent. C’est naturel. Depuis la paix, nous nou
7 eul, l’assumant et le consommant sans que rien en parût au-dehors, avec l’aide de la seule énergie qu’il aurait lui-même prod
5 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
8 imples et les plus aisés à connaître ». Voilà qui paraît clair, j’entends conforme au sens commun. Je distingue pourtant, derr
9 ncement ! Aller du simple au compliqué ! Que cela paraît plein de bon sens ! Le beau cliché, la belle absurdité, la magnifique
10  ! S’il est une chose que l’expérience humaine me paraît avoir établie — je dirais : pour l’éternité ! — c’est bien qu’il faut
11 qu’à partir de son but. Il est très juste qu’elle paraisse absurde à l’observateur raisonnable. Le critique. Le propre d’une vi
6 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
12 bscures de la légende populaire. S’il se risque à paraître devant Chamisso, c’est peut-être poussé par l’envie d’être enfin reco
13 , indéfinie. (Plus tard, j’ai lu le livre, qui me parut splendide.) Qu’est-ce qu’une ombre ? me demandais-je. Quelque chose d
14 e ! Voilà peut-être une première indication. Elle paraîtra sans doute plus probante à des adolescents qu’à des adultes ; à des m
15 r la raison qu’en beaucoup d’hommes la créativité paraît avoir son siège dans le seul sexe, que la pudeur s’est localisée là ?
16 a mission spirituelle, le centre de la créativité paraît se déplacer dans le cerveau ou dans le cœur. La pudeur aussitôt affec
17 upe ». La créativité se purifie en l’écartant. Il paraît donc que le freudisme ne s’occupe que de l’écume d’une soupe ? Ou bie
18 86) deux lettres d’un petit-neveu de Chamisso qui paraissait infirmer par avance mon interprétation. Leur auteur, un M. de Rubulle
19 souvenirs curieux sur le grand-oncle : « C’était, paraît -il, un paquet de nerfs, impressionnable à l’excès, avec un fond de tr
7 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
20 du dialogue et non pas cette fusion rêvée. Alors paraissent la conscience, et le sérieux, et la réalité des vies au jour. Nous so
8 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
21 jeuner se termine toutefois sans que mon hôte ait paru remarquer que mon malaise est contagieux. Il bavarde encore en prenan
9 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
22 Don Juan Lorsqu’il paraît brillant d’or et de soie, dressé sur ses ergots de grand ténor, l’on
10 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
23 r et sa grandeur ne dépendent d’aucune raison, et paraissent même n’en point souffrir. Fama crescit eundo ; minuit praesentia fama
11 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
24 entier s’organise à ce niveau de vie moyenne qui paraît offrir à la mort, comme à tout acte créateur, le moins de chances. Un
25 à la violence de l’acte décisif, nous allons voir paraître enfin leur justification, leur être. Voici l’instant où les hommes s’
26 ue de l’autre côté, du côté de ce monde mal fait… Parut un soleil nouveau. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf,