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it savoir ce que je fais, et dans vingt occasions
pareilles
: voilà qui me pose tout le problème de la culture. Cela paraîtrait a
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ômeur normal — si j’ose dire — jamais tout à fait
pareille
, et pourtant voisine. À défaut de conclusion nette, essayons de résum
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ines ambitions. Cela me rappelle d’autres moments
pareils
: à l’annonce d’accidents imprévus qui donnaient brusquement à ma vie
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e leur commune condition. Ils sont peut-être trop
pareils
pour éprouver le besoin de s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des m
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m. Le plus jeune, il a toujours faim, alors c’est
pareil
. Je dis : Oh ! vous avez faim, je vais vous faire une soupe aux pomme
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ne autre bête, même une bête chevaline, ce serait
pareil
, maintenant… » Fin février 1934 Sur la pauvreté. — Elle n’est
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d’une espèce d’imagerie d’Épinal, malgré moi trop
pareille
aux innocentes peintures de paradis modernisé que vulgarise la propag
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e reste que l’ennui de nos conversations toujours
pareilles
. Grande différence entre eux et moi : ils sont adaptés à leur conduit