1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 it savoir ce que je fais, et dans vingt occasions pareilles  : voilà qui me pose tout le problème de la culture. Cela paraîtrait a
2 ômeur normal — si j’ose dire — jamais tout à fait pareille , et pourtant voisine. À défaut de conclusion nette, essayons de résum
3 ines ambitions. Cela me rappelle d’autres moments pareils  : à l’annonce d’accidents imprévus qui donnaient brusquement à ma vie
4 e leur commune condition. Ils sont peut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des m
5 m. Le plus jeune, il a toujours faim, alors c’est pareil . Je dis : Oh ! vous avez faim, je vais vous faire une soupe aux pomme
6 ne autre bête, même une bête chevaline, ce serait pareil , maintenant… » Fin février 1934 Sur la pauvreté. — Elle n’est
7 d’une espèce d’imagerie d’Épinal, malgré moi trop pareille aux innocentes peintures de paradis modernisé que vulgarise la propag
8 e reste que l’ennui de nos conversations toujours pareilles . Grande différence entre eux et moi : ils sont adaptés à leur conduit
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 a joie, elle se sent gênée, pauvre et maladroite, pareille à cette clarté lunaire incapable d’exalter ce qu’elle découvre sur la
10 ocial, sans doute parents, de mœurs et de langage pareils . S’ils s’opposent, c’est que l’un est avare et légèrement maboul, l’a