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e leur union fédérale est la seule garantie d’une
pareille
liberté. L’unité de la Suisse, en dernière analyse, est donc propreme
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ant à noter, écrit encore M. Siegfried, c’est que
pareil
équilibre semble régner au sein des individus eux-mêmes, en raison du
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n’est, ce me semble, aucun motif de conserver un
pareil
état de choses… Rien ne milite en sa faveur, pas même la raison, d’ai