1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
1 non intimes qu’on va lire souffrent sans doute de pareilles alternances. Le ton ou la chanson, l’écriture ou le sens, le rythme o
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 s comment ne pas voir qu’un lieu qui porte un nom pareil est par là même extraordinaire. Celui qui ne croit pas à la vertu des
3 la casquette de travers sur leurs idées sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dans la cour d’honneu
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
4 -être, une génération n’avait trouvé spontanément pareille communauté d’attitude essentielle. C’est qu’aucune jamais n’eut à dév
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
5 it savoir ce que je fais, et dans vingt occasions pareilles  : voilà qui me pose tout le problème de la culture. Cela paraîtrait a
6 ômeur normal — si j’ose dire — jamais tout à fait pareille , et pourtant voisine. À défaut de conclusion nette, essayons de résum
7 ines ambitions. Cela me rappelle d’autres moments pareils  : à l’annonce d’accidents imprévus qui donnaient brusquement à ma vie
8 e leur commune condition. Ils sont peut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des m
9 m. Le plus jeune, il a toujours faim, alors c’est pareil . Je dis : Oh ! vous avez faim, je vais vous faire une soupe aux pomme
10 ne autre bête, même une bête chevaline, ce serait pareil , maintenant… » Fin février 1934 Sur la pauvreté. — Elle n’est
11 d’une espèce d’imagerie d’Épinal, malgré moi trop pareille aux innocentes peintures de paradis modernisé que vulgarise la propag
12 e reste que l’ennui de nos conversations toujours pareilles . Grande différence entre eux et moi : ils sont adaptés à leur conduit
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
13 a joie, elle se sent gênée, pauvre et maladroite, pareille à cette clarté lunaire incapable d’exalter ce qu’elle découvre sur la
14 ocial, sans doute parents, de mœurs et de langage pareils . S’ils s’opposent, c’est que l’un est avare et légèrement maboul, l’a
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
15 emme : « Voyons, tu es stupide de dire des choses pareilles devant des Français ! » Mais il n’a pas l’air de comprendre. Où est l
16 té victimes d’un effroyable accident. Une épreuve pareille n’est pas humaine, elle n’a aucune valeur pour la vie normale de l’ho
17 le moins du monde, il ne vaut rien pour un destin pareil  ? Un génie n’est ni fou ni bête, ni sensé ni intelligent. Il ne s’app
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
18 l’on va pouvoir s’entendre ! Toutefois, comme en pareil domaine tout est affaire de nuances, parfois subtiles, il n’est pas s
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
19 le charme est détruit dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’éveille et goûte encore quelques instants les délices d
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
20 charge de banneret. Le 20 avril, il n’est plus. «  Pareil au cierge qui se consume d’autant plus vite qu’il a mieux éclairé, éc
21 a guerre à la Pologne, puisqu’on écrit des choses pareilles sur moi. » C. B… lui ayant demandé pourquoi il attachait tant d’impor
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
22 our déjeuner dans un restaurant de Grenoble. Menu pareil à ceux de Paris il y a un an, et les prix ont à peine augmenté. Mais
23 i vu qu’elle peut mourir. J’ai vu la France toute pareille à un homme qui vient de tomber sur la tête. Il se relève, se tâte, et
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
24 ashington, ville de nulle part, peu convaincante, pareille à une cité d’exposition qu’on aurait décidé de maintenir pour y loger
25 de mettre en jeu. Mais comme on les sent bien, en pareil cas, comme on les sent physiquement, sans recours, les liens secrets
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
26 e castagnettes, les cuervos au long bec recourbé, pareils aux sorcières anguleuses des tapisseries javanaises, les chajas qui o
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
27 rait pas même de tortures. Mais quand tout serait pareil à leur vue, tout serait changé d’une manière indicible… Ici remonte e
28 qu’on voyait, parce qu’on s’attend à les voir en pareille occasion. Mais il y en avait beaucoup d’autres, solitaires, au regard
29 rt qui fait un coude à droite. Dix portes, toutes pareilles , et pas un nom. J’erre, hésitant. Finalement, j’entends un grand chœu
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
30 -là précisément, car on n’avait jamais rien vu de pareil , mais de quelque chose de plus fondamental qui définit la condition h
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
31 l une seule femme en Europe qui dispose de moyens pareils au service d’une si ferme vision ? Nous répétons que l’Amérique est b
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
32 equel notait dans sa préface que tout était resté pareil depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les villages et les ville
33 rs se rétrécissent.) Cette rue, comme cent autres pareilles , fait voir en coupe la société américaine. Rue huileuse, parsemée de
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
34 er que de n’en point trouver, justement. Tout est pareil à mes souvenirs, à peine un peu plus ressemblant. Tout est intact. La
35 identifier en un clin d’œil avec les règlements «  pareils pour tous », non point avec votre situation d’usager perplexe ou anxi