1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 sables au bon équipier deviennent les qualités du parfait citoyen : juste vision de la réalité, abnégation, sentiment du devoir
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 n’est pas de fin aux œuvres de Dieu. La sainteté parfaite ne commence qu’aux limites les plus hautes de la vertu. Dans ce sens,
3 itable. Il n’y a pas de saints, mais il faut être parfait . Tel est l’enseignement de Jésus, telle est la pensée qu’a voulu rest
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 S’il est une révélation, c’est en me rendant plus parfait que je lui préparerai les voies. Agir ? Sur moi d’abord. Il ne faut p
5 de faire primer la vie, puisque n’est pas encore parfait cet instinct qui est la Vertu. Ma vertu est de chercher cette Vertu ;
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
6 es champs sombres du ciel de l’est, et une façade parfaite répond encore au couchant. San Miniato sur sa colline. Derrière nous,
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 semblent d’une matière idéale. Tout est lisse et parfait . Trop parfait seulement. Il manque à ces recompositions de la nature,
8 e matière idéale. Tout est lisse et parfait. Trop parfait seulement. Il manque à ces recompositions de la nature, à ces natures
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 va. Mais comme c’est odieux qu’une créature aussi parfaite soit touchée par les mains outrageusement baguées de ces courtiers al