1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
1 su déceler la corruption secrète de cet art trop parfait , « qui supprime les plus angoissants problèmes, à force de les éclair
2 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
2 » Mais cette preuve n’est valable que pour la foi parfaite , et ce recours au Transcendant, non plus au Mythe, contre la dictatur
3 i que l’écrit Kierkegaard. Or la foi n’est jamais parfaite , et dans l’homme converti persiste « le vieil homme ». Son mouvement
4 saiera d’abord de mythifier le Christ en niant sa parfaite humanité : c’est l’intention commune à toutes les hérésies gnostiques
3 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
5 mpher, et c’est cet être qu’ils appelaient Nature parfaite . » C’est le vrai moi, c’est l’Ange. « Il ne s’agit plus du simple mes
6 s, et pour qui ? « Ibn Arabi observe que les plus parfaits amants mystiques sont ceux qui aiment Dieu simultanément pour lui-mêm
7 plaisir est une expérience du divin… Mais l’amour parfait est celui dont l’objet n’est pas limité. C’est cet amour qui est l’am