1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
1 aix” ; d’autre part, ce berger n’est pas un homme parfait , il boit souvent trop, et il ne lit que le Reader’s Digest. Je refuse
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 uent aussi leur bonheur. Ici, le parallèle semble parfait . Le bonheur, la pleine participation à la vie, le signe de l’accessio
3 ’épée brandie, pour tomber sur le roi, qu’il tue. Parfaite traduction plastique des concepts favoris de Kierkegaard. g. « Kierk
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
4 st, sauf trompeuses exceptions, économe d’accords parfaits . Plaisir d’autant plus vif de se déclarer parfaitement d’accord avec
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
5 dre inaccessible. Il conçoit la vertu et la santé parfaites , la puissance, l’abondance assurée, la liberté de circuler au loin, o
6 comme semblable à leur Bien : il sera bon, juste, parfait et immortel, sa toute-puissance n’étant mise en échec que par le prin
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
7 , on n’est jamais ému. Tel qu’il est, cet ouvrage parfait reste, aussi, un Tristan manqué. Et cela tient à l’immaturité de l’ob
6 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
8 ins, pensais-je, savent encore exclure avec cette parfaite assurance, mais par manie, au nom d’une mode. Ici, tout au contraire,
9 ou de la poésie comme existence, ce qui donne une parfaite question zen, la question dernière, peut-être, pour les hommes auxque
7 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
10 s majeurs de l’amour et leurs épiphanies les plus parfaites dans le lyrisme occidental. À la quête spirituelle d’une vision juste
11 s le temps »99, d’où vient que la musique est son parfait médium. Pour Don Juan, « la féminité tout à fait abstraite est l’esse
12 t plusieurs conceptions », chacune pouvant être «  parfaite  » pour une génération ; tandis que le Don Juan de Mozart, « par le ca
13 rouve dans le Don Giovanni de Mozart l’expression parfaite et unique de la spontanéité passionnée, l’autre ne veut prendre à tém
14 nie préétablie règne entre la musique et le drame parfait . » Nietzsche voit dans le mythe en général « le but réel de la scienc
8 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
15 a noirceur et la scélératesse. Antithèse vraiment parfaite des deux vertus de l’amour chevaleresque : la candeur et la courtoisi