1
, on n’est jamais ému. Tel qu’il est, cet ouvrage
parfait
reste, aussi, un Tristan manqué. Et cela tient à l’immaturité de l’ob
2
uent aussi leur bonheur. Ici, le parallèle semble
parfait
. Le bonheur, la pleine participation à la vie, le signe de l’accessio
3
’épée brandie, pour tomber sur le roi, qu’il tue.
Parfaite
traduction plastique des concepts favoris de Kierkegaard.
4
s majeurs de l’amour et leurs épiphanies les plus
parfaites
dans le lyrisme occidental. À la quête spirituelle d’une vision juste
5
ans le temps », d’où vient que la musique est son
parfait
médium. Pour Don Juan, « la féminité tout à fait abstraite est l’esse
6
t plusieurs conceptions », chacune pouvant être «
parfaite
» pour une génération ; tandis que le Don Juan de Mozart, « par le ca
7
rouve dans le Don Giovanni de Mozart l’expression
parfaite
et unique de la spontanéité passionnée, l’autre ne veut prendre à tém
8
nie préétablie règne entre la musique et le drame
parfait
. » Nietzsche voit dans le mythe en général « le but réel de la scienc
9
a noirceur et la scélératesse. Antithèse vraiment
parfaite
des deux vertus de l’amour chevaleresque : la candeur et la courtoisi
10
à mes yeux la vie de Gide : un exemple à peu près
parfait
de dissociation de la personne, permettant la coexistence — l’actuali
11
assé comme il veut ignorer l’avenir, il veut « le
parfait
oubli d’hier » et « n’importe quel avenir », pour jouir totalement de
12
que le plaisir était ainsi plus pur, l’amour plus
parfait
, si le cœur et la chair ne s’entr’engageaient point75. » C’est le moy
13
ins, pensais-je, savent encore exclure avec cette
parfaite
assurance, mais par manie, au nom d’une mode. Ici, tout au contraire,
14
ou de la poésie comme existence, ce qui donne une
parfaite
question zen, la question dernière, peut-être, pour les hommes auxque
15
mpher, et c’est cet être qu’ils appelaient Nature
Parfaite
. » C’est le vrai moi, c’est l’Ange. « Il ne s’agit plus du simple mes
16
s, et pour qui ? « Ibn Arabi observe que les plus
parfaits
amants mystiques sont ceux qui aiment Dieu simultanément pour lui-mêm
17
plaisir est une expérience du divin… Mais l’amour
parfait
est celui dont l’objet n’est pas limité. C’est cet amour qui est l’am
18
nsforme et non pas un reflet ! Un poète mineur et
parfait
de ce temps l’a découvert un jour, non sans stupeur : Il y a un autr
19
les uns les autres, Dieu demeure en nous. L’amour
parfait
bannit la crainte. Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse so