1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
1 Quelle forme de gouvernement peut donc être plus parfaite que la nôtre, et quels plus grands honneurs peut-on rendre à Dieu, pu
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
2 t la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait . Dans les deux cas, il s’agit du même mot : transformer ; et il s’ag
3 effort, s’il compare ce mieux-être relatif au don parfait qu’il a reçu en Christ. Il possède en lui-même la mesure d’une perpét
4 ort du mal ; le chrétien sait que le bien naît du parfait . D’une conséquence politique de la foi Je m’adresserai maintena
5 es origines. Mais nous devons proclamer la vérité parfaite dont nous avons, nous les premiers, dévié. « Malheur à moi si je n’év
6 t ne peut être qu’un renvoi à la Révélation seule parfaite , à Jésus-Christ. La « doctrine » n’est ainsi qu’une mesure critique q
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
7 tres et prédit à la fin que nous allons vers la «  parfaite et définitive fourmilière »  ? On pourrait m’objecter Claudel, optimi