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férence de La Haye en 1948, d’où devait sortir le
Parlement
européen, le Conseil de l’Europe et le Marché commun. Européen d’orig
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ralement en Suisse, à l’école, dans la presse, au
Parlement
, et même au sein de notre exécutif fédéral, trois erreurs à tour le m
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on pas devant les États nationaux, mais devant un
parlement
élu par tout le peuple européen. Enfin, pour assurer la cohérence d’u
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. Personne, je le sais, ne viendra dire devant un
parlement
ou dans une assemblée populaire que c’est cela qu’il veut, ni qu’il c
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festes contre l’élection au suffrage universel du
parlement
européen qui affirment que l’Europe ne sera jamais qu’une modalité de
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le lieu politique par excellence — le sénat et le
parlement
n’étaient que délégations du forum. Là s’exerçait au maximum la parti
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lire au suffrage universel, dans les six mois, un
parlement
européen. On ne retint que l’idée d’une assemblée dont les membres se
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assemblée dont les membres seraient élus par les
parlements
. Des compromis analogues entre dirigistes, planistes et libéraux, rés
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différentes parties du projet européen devant les
parlements
. Les six mouvements qui avaient organisé et mené à bien le congrès d
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une Assemblée purement consultative, élue par les
parlements
et non par les peuples, ne pourrait rien contre un Comité de ministre
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ectuels, hauts fonctionnaires et députés de seize
parlements
européens. Lacune fort importante dans ce complexe : l’économie. Le p
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à, puis de l’opinion européenne et finalement des
parlements
, que le « plan Schuman » a si vite réussi. Il s’agissait en réalité d
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équilibre » (Pierre Uri). Quoi qu’il en soit, les
parlements
de cinq des Six ne tardèrent pas à ratifier le projet français (1992
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t l’air de rien », qu’il entrait dans la salle du
parlement
« comme un ecclésiastique qui se rend à la chaire » et qu’il « pesait