1 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
1 es, par exemple) et contrôlé par la majorité d’un parlement . Comment un ministère pourrait-il donc (quels que soient les désirs d
2 peines, que s’il peut démontrer aux Finances, au Parlement , aux présidents de ses commissions, que tel ou tel projet « sert le p
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
3 précédé du chapeau suivant : « “Ce Congrès est un parlement des intellectuels de nombreux peuples qui ont reconnu leur dépendance
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
4 is l’Europe ne pourra s’unir en temps utile si le parlement français repousse la CED, et avec elle ses suites et ses implications
5 es » réclamées par tel groupe ou demi-groupe d’un Parlement pulvérulent, apparaît simplement démente, si l’on a vu la situation m
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
6 sur des textes marchandés par les partis dans les parlements excités. Il ne confondait pas l’action réelle avec les grands éclats
7 être tenus pour foncièrement incompatibles ? Les parlements latins sont les plus éloquents et font en conséquence la pire des pol
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
8 esseurs et d’érudits que des séances houleuses de parlements modernes, ou même des conventions de partis en Amérique. Convoqués pa
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
9 en Europe des sources d’énergie nouvelles. Si le Parlement français le comprenait enfin, il voterait l’Euratom sans un jour de d
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
10 s pays de l’Est, dotée d’un pouvoir fédéral, d’un Parlement et d’une armée. Une neutralité « à la suisse » n’aurait donc aucun se
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
11 istence officielle d’une représentation du PCF au Parlement traduit une tolérance paradoxale. Au mieux, elle constitue un privilè
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
12 CECA, le Marché commun et l’Euratom ; et que les parlements les votent bien vite, sans trop voir ce qui est engagé. — Oui, mais l
13 ien sans la force, qui n’est pas rationnelle. Les parlements peuvent tout, y compris décréter que les États-nations ont fait leur
14 institutions européennes seront bloquées par les parlements si ceux-ci ne subissent pas une pression populaire imposant l’électio
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
15 décide la politique de nos États ; que votent les parlements et même parfois les peuples ; et que l’Histoire s’écrira demain. L’ir
11 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
16 ne gêne irritante, troublant « le jeu normal » du Parlement  ; comme une sorte d’aberration. L’extrême insoutenable du régime fut
17 éraliste, qui est politique et non politicien. Le Parlement , dans une fédération, tient toute son existence des États membres et
18 et le cabinet, prépare des lois et les soumet au Parlement mais si ce dernier les refuse, le Conseil ne démissionne pas : il pro
19 he par un référendum. — Que me dites-vous là ? Le Parlement ne pourrait donc pas renverser les ministres élus par lui ? — Il ne
12 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
20 ffaiblir la situation du gouvernement aux yeux du parlement et du pays. » Sur quoi l’un des journalistes romands qui commentent c
21 mme discréditerait-il le gouvernement aux yeux du parlement et du peuple ? » Et il conclut : « Confusione hominum et providentia
13 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
22 d’avoir été acceptées par l’opinion, donc par les parlements et les gouvernements qui en dépendaient alors dans nos pays. Des hist
23 oles, patronaux ; coopératives ; magistratures et parlements  ; mouvements de jeunesse ; Églises… On les prierait de rédiger des ca
24 lle des Chevaliers, qui est celle d’un très vieux Parlement , mille personnes, mille Européens. Je reconnais dans la foule quelque
25 nent, et une assemblée délibérante nommée par les parlements . Mais la résolution politique (votée aussi par les fédéralistes) ne p
26 mblée « élue, dans leur sein ou au-dehors par les parlements  ». Enfin, le Message aux Européens revendiquait « une assemblée… où
27 consultative, formée de députés désignés par les parlements nationaux. Dès ce moment, la teneur en fédéralisme, non seulement des